Réalité Mexicaine: La Commission des Droits de l'Homme récompense Isabel Miranda de Wallace

Réalité Mexicaine: La Commission des Droits de l'Homme récompense Isabel Miranda de WallaceCELLE QUI CONDAMNE FLORENCE CASSEZ !

La Commission des Droits de l'Homme récompense Isabel Miranda de Wallace
Une preuve de plus du surréalisme mexicain : la CNDH, Commission des Droits de l'Homme mexicaine, va récompenser Isabel Miranda de Wallace par le Prix des Droits de l'Homme 2010 !!
On nage en plein délire : si on lit le blog Carcel de Mujeres, presque entièrement consacré à cette "dame", on apprend que cette dernière, qui cherche soi-disant les assassins de son fils, a fait mettre plusieurs innocents en prison (grâce sans aucun doute à ses bonnes relations avec le ministre de la Sécurité Publique), et envoie des hommes de main les torturer afin d'obtenir une confession de leur part.

Mais c'est un peu normal que la CNDH la soutienne, vu que c'est elle qui a insisté pour que l'actuel président de la CNDH, Plascencia Villanueva, soit nommé à la tête de la CNDH.

La CNDH va donc la récompenser pour avoir participé à l'élaboration de la loi pour la Prévention et la Sanction des délits en matière de Kidnapping, approuvée par la Chambre des Députés le 7 octobre 2010, ainsi que pour le travail de son association civile (qui reçoit de l'argent du Ministère de la Sécurité Publique) qui vient en aide aux victimes de kidnapping (alors qu'elle-même a envoyé ses sbires kidnapper une avocate).

Commentaire d'une lectrice :



Source : Proceso

3 commentaires:
Anonyme a dit…
Evidemment, cette ambiguité est plus que troublante.Propre au clientélisme étatiques des régimes
forts, noyautant même les institutions des droits de l'homme.Donnant des gages pour leur vitrine internationale et d'autres pour l'intérieur. Nage en eaux troubles..
Mon commentaire au Proceso sur "El Sicario ,Room 164"de Rosi, n'est évidemment pas passé (pour ceux qui douteraient de la liberté d'expression au Mexique)Face aux "Confesiones de un sicario" de Gueilburt,opportunément sorti qui ne remet en question ni le Président, le Ministre de l'Intérieur et l'Ecole de Police d'alors, comme dans le document de Rosi.Vingt ans aprés, l'étiquette politique a changée, mais non les méthodes.C'est aussi l'aveu de fragilité d'un colosse aux pieds d'argile, si l'on veut garder un peu d'optimisme.
Je traduis ce message(en castillan!)ppour notre lectrice du Proceso pour son avis lucide et intelligent et lui redonne les liens utiles :
http://videos.arte.tv/fr/videos/el_sicario_room 164-3537280.htlm

Catherine Develotte

De hecho, esta ambigüedad es troublante. Propre al clientelismo de stato de regimenes fuertes, de infiltracion incluso las instituciones de le derechos humanos.Dar a las promesas de su exposicion internacional y otros en el interior. natacion en aguas turbulentas...
Mi commentario al proceso sobre "ElSicario,Room164" de Rosi, obviamento, non se ha hido (para aquellos que dudan de la libertad de expresion en México). En repuesta a las "Confesiones de un sicario" de Gueilburt,que pone en tela de juicio ni el Presidente, el ministro del Interior y la academia de Policia en el tiempo, como en el documento de Rosi:Veinte anos mas tarde, la etiqueta politica ha cambiado, pero no los métodos: También es un reconocimiento de la fragilidad de un coloso con pies de barro, si desea mantener un po de optimismo ...
Traduzco este mensaje(en castellano!)para nuesta lectora del Proceso por su opinion lucida y inteligente y le da enlace :

htttp.//videos.artetv/fr/videos/el_sicario_room_164-3537280.html

Catherine Develotte
25 novembre 2010 03:53
Anonyme a dit…
Je viens de répondre dans Proceso à un commentateur que je guettais,
et c'est paru.Evidemment, c'est plus aisé pour ce genre d'argument (film) que pour défendre ou s'opposer à des personnes, mais on se contente de victoires que l'ont peut, même minimes, c'est la foi qui compte et c'est avec elle que j'avais réussi à faire réagir Hervé Morin -avec un mail envoyé de justesse avant son départ pour le Mexique...
26 novembre 2010 03:41
Anonyme a dit…
Non mais je rêve! Non mais je vais aller vomir là! Arght! ça me met en colère.

B.

Estoy literalmente ASQUEADA. Esa mujer es una delincuente!
26 novembre 2010 04:59