Pourtant, Hydraq n'avait rien de très innovant, comme l'a constaté Symantec : "Ce cheval de Troie n'est en lui-même pas nouveau : il agit en créant une porte dérobée sur un ordinateur infecté, permettant à un attaquant distant d'observer l'activité et de voler les informations, non seulement à partir de l'ordinateur infecté mais aussi plus largement sur l'infrastructure à laquelle l'ordinateur est connecté."
mardi 5 avril 2011
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