samedi 2 avril 2016
lundi 28 mars 2016
mercredi 23 mars 2016
Message d'Anonymous: ATTENTATS DE BRUXELLES #OpBruxelles
Anonymous a réagi aux attentats de Bruxelles. "Une nouvelle fois, notre liberté a été attaquée avec les attentats en Belgique ce mardi 22 mars et ça ne peut plus continuer ainsi", annonce d'entrée la voix sur la vidéo. "Nous vous invitons a combattre à nos côtés car chacun peut apporter sa contribution."
Suite aux attentats de Zaventem et Maelbeek, le bilan provisoire fait état de 32 morts et 270 blessés. Au lendemain du "jour le plus noir de l'histoire de notre pays depuis la deuxième guerre mondiale", Anonymous a réagi à travers une vidéo.
5.500 comptes Twitter sabotés
"Citoyens du monde libre. Nous sommes Anonymous. Comme vous le savez, la Belgique a été frappée par le terrorisme ce mardi 22 mars. Une nouvelle fois, notre liberté est attaquée et cela ne peux plus continuer ainsi.
Suite aux attentats qui ont frappé Paris en novembre dernier, nous luttons tous les jours contre le terrorisme et nous avons pu saboter 5.500 comptes Twitter liés directement à Daesh. Nous avons également sévi sur le darknet, principal outil de Daesh en piratant un portefeuille électronique de trois millions de dollars en bitcoins, monnaie virtuelle utilisée sur le darkweb, appartenant à Daesh. Mais aussi, vos sites de propagande ont été mis a rude épreuve du fait de nos cyber attaques.
"Une guerre totale contre Daesh"
Cependant, nous ne pouvons nous en satisfaire puisque les terroristes continuent leurs actions partout dans le monde. Nous avons donc décidé de mener une guerre totale contre les djihadistes avec l'opération Brussels. Pour cela, nous vous invitons a combattre à nos côtés car chacun peut apporter sa contribution. Vous trouverez un lien avec cette vidéo qui vous indiquera la procédure à suivre afin de mener de front cette guerre contre Daesh.
Nous, Anonymous, défendons les droits à la liberté et à la tolérance. Partisans de Daesh, nous vous traquerons, nous vous trouverons, nous sommes partout et ce bien plus que vous ne puissiez l'imaginer, redoutez nous. Nous sommes Anonymous, nous sommes légions, nous ne pardonnons pas, nous n'oublions pas, nous sommes libres. Terroristes redoutez-nous."
5.500 comptes Twitter sabotés
"Citoyens du monde libre. Nous sommes Anonymous. Comme vous le savez, la Belgique a été frappée par le terrorisme ce mardi 22 mars. Une nouvelle fois, notre liberté est attaquée et cela ne peux plus continuer ainsi.
Suite aux attentats qui ont frappé Paris en novembre dernier, nous luttons tous les jours contre le terrorisme et nous avons pu saboter 5.500 comptes Twitter liés directement à Daesh. Nous avons également sévi sur le darknet, principal outil de Daesh en piratant un portefeuille électronique de trois millions de dollars en bitcoins, monnaie virtuelle utilisée sur le darkweb, appartenant à Daesh. Mais aussi, vos sites de propagande ont été mis a rude épreuve du fait de nos cyber attaques.
"Une guerre totale contre Daesh"
Cependant, nous ne pouvons nous en satisfaire puisque les terroristes continuent leurs actions partout dans le monde. Nous avons donc décidé de mener une guerre totale contre les djihadistes avec l'opération Brussels. Pour cela, nous vous invitons a combattre à nos côtés car chacun peut apporter sa contribution. Vous trouverez un lien avec cette vidéo qui vous indiquera la procédure à suivre afin de mener de front cette guerre contre Daesh.
Nous, Anonymous, défendons les droits à la liberté et à la tolérance. Partisans de Daesh, nous vous traquerons, nous vous trouverons, nous sommes partout et ce bien plus que vous ne puissiez l'imaginer, redoutez nous. Nous sommes Anonymous, nous sommes légions, nous ne pardonnons pas, nous n'oublions pas, nous sommes libres. Terroristes redoutez-nous."
lundi 21 mars 2016
mercredi 16 mars 2016
libertat per sempre ! • il y a un an ,ma mère nous quittait ! triste...
libertat per sempre ! • il y a un an ,ma mère nous quittait ! triste...
il y a un an ,ma mère nous quittait ! triste anniversaire ! jusqu'à ce que je lui ferme les yeux ,je croyais encore qu'elle serait la plus forte ,comme d'habitude ! et bien sur que j'avais mis tout mon amour et mes connaissances à la soigner … cela n'a pas suffit à éloigner la mort ,cet horrible dame noire qui était tapie dans la chambre ,attendant le funeste moment ! des larmes et des cris de douleurs sont toujours présents en moi ,ainsi que des regrets ! quoique l'on me dise ,je ne m'y ferais jamais : maman tu me manques ! j'espère tout simplement que le Seigneur t'a offert un petit cabanon pour y vivre éternellement !! Repose en Paix ! je t'aime !
lu in un annu fa, me matri nni lassaru ! anniversariu di l'tristu ! finu à ch'e chjuderaghju a so ochji, aghju sempre pensatu aia da essa u più forte, cum'è di solitu ! è di sicuru I avia messu tutta a mo amore è a cunniscenza di curà … ma ùn era abbastanza à Ward Murat morti, chi orribili signura neru chì era a parolla ghjusta in la stanza, aspittannu ca lu momentu funestu ! lamenti di dulore sò sempri prisenti in mè, è rigrettu ! Purtantu, anu dettu à mè, ch'e avissi mai a fari: Mamma ti parlerà ! Aghju fattu un speru chì u Signore ci hà rigalatu una piccula tranquile à campà per sempre !! Arripusari in paci ! Ti tengu caru !
it a year ago, my mother left us! sad’s birthday! until I close his eyes, I still thought it would be the strongest, as usual! and of course I had put all my love and knowledge to treat … it was not enough to ward off death, that horrible black lady who was lurking in the room, waiting for the fatal moment! tears and cries of pain are always present in me, and regret! although they said to me, I would never do me: Mom I miss you! I just hope that the Lord has offered a small shed to live forever !! Rest in peace ! I love you !
mercredi 9 mars 2016
jeudi 25 février 2016
jeudi 11 février 2016
#Corse « Puisqu’on vous dit que vous êtes français !!! Enfin, sauf quand… » | Corsica Infurmazione
#Corse « Puisqu’on vous dit que vous êtes français !!! Enfin, sauf quand… » | Corsica Infurmazione
FIL ROUGE DE LA RÉDACTION 2016
Tous les ans, ou presque, l’actualité donne raison à ce billet qui date de 2008 (Ruquier, Barbier, les hommes politiques français et Corse, stigmatisent le peuple Corse à longueur de temps…
I Scrianzati
- Grève de la SNCM, port bloqué de Marseille aucune intervention de l’Etat, Blocage des ports en Corse, dispositif policier en place
- Incidents à Ajaccio, déplacement des ministres, presses et classe politique contre la Corse, incidents en france, silence complet.
[juin 2008 Archives unità naziunale] Puisqu’on vous dit que vous êtes français !!! sauf quand vous êtes un « terroriste », un « trafiquant » de drogue, un « braqueur » là vous êtes corse…
Amateur de la « vraie » chasse, celle où le gibier à une chance de s’en tirer, merci de passer votre chemin. Nous allons parler ici d’une chasse où le gibier est une cible facile puisqu’elle ne peut pas se défendre. La presse française, relais de la police et du pouvoir politique, organise depuis quelques années des chasses aux sorcières, dont les corses sont le gibier.
#FemuLiVultà
Dès qu’un évènement « criminel » arrive en Corse, en France, voir même dans le reste du monde, et qu’il y a des corses dans le lot, majoritairement ou pas, ils sont ciblés, catalogués, cités, dénoncés, pointés du doigt, en un mot comme en cent, ils sont portés au pilori.
Dernièrement, 10 personnes interpellées, un trafic international (donc des nations reconnues), et la presse ne parle que des corses en citant les noms, en appuyant sur le passé lointain nationaliste d’un des protagonistes. Oubliés qu’il y a 6 autres personnes dont on ne connaîtra rien ou presque sauf à lire toutes les dépêches d’informations.
Oubliés aussi que le trafic partaient du Maroc vers la banlieue parisienne… L’idée n’est pas de minimiser le rôle des protagonistes insulaires dans cette affaire, mais le procédé qui consiste depuis des années à donner l’origine des personnes surtout et essentiellement quand elles sont corses. De donner les noms aussi rapidement qu’un coup de fil anonyme à la gestapo. Le but est d’habituer tout le monde à criminaliser les corses, à instaurer un système de pensée : « il est corse donc forcement coupable ».
Le jour où les corses seront précipités et noyés dans la Seine, tout le monde trouvera l’acte normal.
Au dernier procès d’un patriote corse à Paris, le Procureur de la République à dévoiler ce qui attend les Corses qui ne rentrerai pas dans le rang, dans le droit commun dans l’Etat de droit. «vous êtes un danger pour la société», « je vais demander une lourde peine, parce que vous n’avez pas renoncé à vos idées et que vous êtes restez droit dans vos bottes » «la prison vous fera du bien».
Continuons à faire l’autruche, faire le dos rond et à courber l’échine pour enfin devenir de bon petits français.
« La Corse c’est la France, comme la Bourgogne ou la Normandie sont la France. »
Voilà ce que martèle l’UMP, les chevènementistes, les Zuccarellistes et les lepénistes. En passant par tous les courants politiques Franco-Français et les relais clanistes insulaires.
Contrairement à ce que nous impose le lavage de cerveau quotidien, les corses ne sont pas « traités » comme les autres français de Bourgogne ou de Normandie.
Quand lors d’un match de foot, un joueur corse répond « sale juif » à un joueur français parce que ce dernier l’a traité au préalable de « sale corse », la montée au créneau est uniquement dans un seul sens, celui du français. Parce que le peuple corse, la race corse, ca n’existe pas. Il va de soit que « sale corse, sale juif ou sale con » sont des insultes inutiles lors d’un match de foot, mais que la punition soit la même pour toutes les insultes et pas selon qu’on soit corse, français, catholique, bouddhiste, juif ou musulman.
Puisqu’on vous dit que la Corse c’est la France ! Alors pourquoi certains services de répression continue à toucher la double annuité de service ?
En effet dans le corps de Gendarmerie, un an fait en colonie donc en corse équivaut à deux ans de service. Ainsi cette profession peut se permettre de se retrouver à la retraite très rapidement puis de s’installer en Corse, acheter un terrain, trouver un emploi dans le privé ou le public (mairie, pompier…) et continuer de renseigner sur vos agissements et vos idées auprès des services concernés.
Si vous pensez encore que la Corse c’est la France, rappelez vous les boues rouges, l’affaire de la Cave d’Aleria ou l’armée et les blindés ont été utilisés contre des corses. N’oubliez pas les services spéciaux aux ordres de l’Etat Français qui devaient assassiner des corses, qui ont assassiné Guidu Orsoni. Ces préfets et gendarmes du GPS (Giandarmi pronti à scappà) qui ont mis le feu à une paillote et qui avaient prévus de relancer une guerre fratricide en Corse. J’en oublie surement.
Un corse est donc moins bien traité politiquement et judiciairement qu’un Algérien ou un Espagnol.
Ce complexe du colonisé n’est que de la pure faiblesse, honteuse et odieuse en elle – même. Est colonisé tout corse originaire d’ici qui nie que le corse est un peuple ou qui considère que le peuple corse est inférieur aux autres peuples de la Terre, à commencer par le peuple Français. Le complexe a une double origine. Sa première origine est personnelle, c’est à dire il est originaire la personne qui a développé ce complexe. Sa deuxième origine est liée à la première. Ce complexe, comme son nom l’indique, tire aussi son origine de la colonisation française de 1769 à aujourd’hui. Pendant cette période de colonisation, les Corses ont toujours été les victimes, de la part des français, d’une domination économique, politique, sociale, du mépris et d’infériorisation. Le mépris envers les corses et la corse était alors presque généralisé chez les français avant la première guerre mondiale (des corses jetés dans le port de Marseille par exemple). Le complexe du colonisé a pour manifestation fondamentale le complexe d’infériorité. Toutes ses autres manifestations dérivent du complexe d’infériorité.
La première manifestation du complexe de colonisé, c’est le complexe d’infériorité. Cela entraîne la dépendance à l’égard du gouvernement colonial, l’incapacité de s’assumer collectivement, le dégoût , la honte et le mépris de ce qui caractérise la Corse, la dévalorisation de tout ce qui est particulier et propre au notre identité. C’est pourquoi, ces liesses populaires en Corse ne sont que le reflet d’un peuple colonisé.
Voici encore des exemples concrets du traitement de la Corse et des corses :
La corse c’est en France ?
N’insistez pas, puisqu’on vous le dit. La corse est donc partie prenante de la France. Sauf que le citoyen corse peut légitimement se le demander.
Liberté Egalité Fraternité, sauf si vous êtes corse, basque, breton ou kanak.
Le simple syndicaliste corse non armé, du STC, qui a le malheur de faire une action symbolique et un acte politique fort en prenant un bateau vide de passagers pour le ramener en Corse, a la chance de se faire interpeller manu militari par le GIGNaccompagné d’hélicoptère de l’armée française. Alors que les syndicalistes français, qui prennent le France en otage, chargé de passagers, n’ont pas eu cette chance là et encore heureux pour eux. (en Kanaky, l’armée vient d’intervenir dans un problème syndical)
Le petit jeune qui en Corse lance un cocktail Molotov contre une gendarmerie ou bien exprime son problème sociétal par des actions violentes à l’agréable surprise à 6h00 du matin de voir débarqué laDNAT (ancienne DCPJ) en arme et avec les caméras de télévision, oui mon cher monsieur, oui oui, ces gens là se filme en action. Il a, ce jeune corse, l’opportunité de voyager et de voir du monde, en étant déporté en préventive sur Paris dans une prison proche du juge sans faire le 118. Mais pour le même genre de délit en banlieue parisienne, a quelques mois d’intervalle, les jeunes qui jettent les mêmes cocktail (peut être sans eau de vie corse) et qui s’expriment par autant de violence, ne peuvent pas en dire autant. Deux poids, deux mesures ?
Lorsque des viticulteurs corses ou agriculteurs corses ont la malencontreuse idée d’employer au noir des marocains afin de ne pas perdre une récolte (c’est ce qu’ils disent en gros pour se défendre), ce ne sont pas uniquement les gendarmes de proximité qui débarquent mais toute une armée de policiers accompagnée du RAID. En même temps en France, les patrons ou responsables agricoles n’ont pas droit à ce traitement de faveur, mais ils ne sont pas corses eux.
Lors de manifestation en Corse de la jeunesse revendicative, ou bien d’association de défense de prisonniers politiques, nous avons droit à un déploiement de force considérable, répressif et toujours prompt à frapper au moindre lancement d’œuf pourri ou de pierre, y compris sur des jeunes filles ou des passants, le tout avec le soutien du GIPN, armée de fusil à pompe et autre joyeuseté dangereuse. Bien entendu lors des manifestations à Paris ou débarquent les casseurs organisés pour casser du flic ou du « blanc », la réponse n’est pas en proportion, et il faut attendre quelques minutes sinon des heures pour voir intervenir les forces de répressions.
A une époque pas si lointaine, pour avoir eu l’outrecuidance de dénoncer les agissements de 4 pieds noirs en plaine orientale (et oui encore), en prenant une Cave viticole en otage, armé de simple fusil de chasse (portée 300 m ?), le très démocrate Poniatowski a envoyé l’armée, les blindés, les hélicos et si l’arme nucléaire était de son ressort, il aurait atomiser la corse.
Aleria 1975 explique peut-être qu’en corse, le gouvernement français a pris l’habitude d’envoyer la grosse artillerie dès qu’un corse ose bouger un peu surtout si celui-ci pense en corse. Dans son livre, le piège d’Aleria, Edmond Simeoni cite des actions identiques ailleurs en France, je cite« L’occupation avec des fusils de chasse justifie t’elle le désir d’exterminer? Des précédents connus démontrent le contraire. En 1973, dans le Var, quelques pieds-noirs, armés de fusils de chasse, ont occupé l’étude de trois avocats chargés de la liquidation des biens d’un rapatrié. La vente n’a pas eu lieu. Personne n’est intervenu contre les occupants. Toujours dans le Var, mais tout récemment, après Aleria, le 25 septembre 1975, d’autres pieds-noirs armés de fusils de chasse ont occupé le garage d’un camarade pour en empêcher la mise en vente décidée par les tribunaux. Personne n’est intervenu. S’opposer en armes à l’exécution d’une décision de justice est-il moins grave qu’occuper la cave d’un exploiteur? Trois jours avant Aleria, des harkis armés ont enlevé à Firminy et séquestré au camp de Blas une personnalité algérienne. Le gouvernement a bien fait cerner le camp par les forces de police, mais il a en même temps envoyé le préfet de Lot-et-Garonne pour négocier. L’Algérien a été libéré. Aucune arrestation n’a été opérée, malgré l’enlèvement et la séquestration. Plus récemment encore, quelques pieds-noirs, dans le Var, ont empêché l’un des leurs, M. Ibagnès, fusils de chasse et winchester à la main de déférer à une convocation de la police judiciaire. Sans ennuis ! (source Benghje, camperemu, Edmond Simeoni, le piège D’Aleria, édition JC Lattès 1975)
Cela justifie surement qu’en Corse, le RAID, le GIGN, la DNAT, et autres forces de répression tirent sans sommation, plastiquent les portes pour entrer dans un appartement, menacent d’armes à feu, femmes, enfants et parents de militants nationalistes. Si des statistiques ont été faites, en 30 ans de lutte et donc de répression, combien de militants ont opposé une quelconque résistance violente au matin de leur interpellation ? Il en a suffit d’une me répondront les fins analystes et pro répression pour justifier qu’on laisse une femme perdre son bébé en garde à vue, qu’on enferme une mère et ses deux enfants dans la cage du commissariat, qu’on interdise a une mère et son fils de rentrer en corse après une courte préventive. Qu’on laisse mourir d’un cancer un prisonnier politique en prison…
La fin justifie les moyens en corse, et un jour ou l’autre, le drame dont tout le monde parle, la bavure dont tout le monde sait qu’elle arrivera, ne sera surement pas condamné par nos trois spécialistes du communiqué « Je condamne dès que ca concerne une action nationaliste », ce jour là ils feront ce qu’ils font de mieux, rien voir, rien dire, rien entendre.
Les caricatures du Prophète Mahomet.
Elles ont déclenché, un émoi dans la communauté musulmane à travers le monde, le racisme est en France condamné à juste titre par une série de loi (http://www.justice.gouv.fr/publicat/antiraca.htm) qui concerne tout le monde ou presque. Sont exclus de ces lois, les corses, les basques, les bretons, les occitans, bref tous les peuples des nations sans Etat qui se trouve sur le territoire français (un et indivisible). Les caricaturistes se sont lâchés sur la Corse et sur les corses depuis de nombreuses années, Les humoristes aussi, les chanteurs, les politiques, les citoyens, les internautes, les joueurs de flute, les trapézistes, bref tout le monde, toutes les catégories sociales, professionnelles et culturelles peuvent se lâcher en toute quiétude sur la Corse et sur les Corses.
Crachez sur la Corse et insultez les Corses, c’est légal.
Les caricatures et blagues humoristiques présentés ici ne sont donc en aucun cas raciste, mais drôle, tellement drôle que vous risquez à tout moment de faire pipi sur vous.
Nous autres Corses, étions pliés en deux, un jour de février 2004 ou Magà Barbarossa (président de la Maison de la Corse de Paris) s’est fait « prendre » à un drôle de jeu sur France 2 (1), ce soir là, l’équipe du très talentueux animateur Ruquier (2) se laisse aller à un humour corrosif :« les corses vous êtes tous des malades » (Claude Sarraute), Magà Barbarossa a explosé quelques jours après mais pas de rire. Il a porté l’affaire devant les tribunaux en pure perte, les corses n’existent pas. Le siège de la Maison de la Corse à Paris (vivement une Maison de la France à Corti) est victime d’un attentat murale et d’une revendication en place publique « Sales Corses on va vous renvoyer chez vous ». En décembre 2004, l’auteur de cet acte de bravoure humoristique passe au tribunal et déclare devant la Cour« On sait bien que tous les corses sont des racistes ! ». Ca vous fait pas rire ? Bizarre.
L’année précédente, Eddy Mitchell, Monsieur « Dernière séance sur FR3 », déclare dans Paris Match en septembre « Depuis que Sardou s’est entiché de son île de crétins, je ne le vois plus…« , relayant le drolissime sketch de Virginie Lemoine et Yves Lecoq sur France Inter demandant « l’euthanasie des Corses » (sic!) (3) ! La liberté de la presse étant en France, une des grandes richesses de ce pays, elle permet cette liberté de publier tout et n’importe quoi sur la communauté corse, pardon elle n’existe pas, du peuple corse, pardon il n’existe pas, sur ce ramassis de fainéant et voleurs (là c’est plus parlant pour le français moyen). C’est donc un trésor de la littérature française, « La vie parisienne », qui a osé publié« 22 raisons de dire merde aux Corses » (4) !
Le racisme anti corse n’existe donc pas et n’a jamais existé, puisque qu’on vous dit que vous n’existez pas !
Depuis que la Corse a demandée à être Française en 1769 en faisant exprès de perdre Ponte Novu pour mieux être pacifiée, les déclarations sur la Corse et les Corses se sont ajoutées les unes aux autres (5).
Pour ne citer que deux grands représentants Français, Daniel Gélin, acteur français doué d’un immense talent qui déclara en 1996 que« De tous temps les corses ont été des cons » en passant par Alphonse Daudet » Toutes les mêmes, ces grandes familles corses : crasse et vanité. Ca mange dans de la vaisselle plate à leurs armes des châtaignes dont les porcs ne voudraient pas… «
En conclusion, le racisme anti Corse n’existant pas, il fallait bien trouver quelque chose pour additionner le mot « racisme » et « corse ». Bingo (je sais c’est pas un terme digne d’un journaliste, mais en même temps, je suis pas journaliste mais corse), le racisme corse est né d’une volonté commune en France, de faire du peuple qui n’existe pas un peuple raciste à toutes les sauces.
Quand un fait divers en Corse touche une communauté qui a le droit de porter plainte pour racisme donc que je ne peux pas citer, c’est forcement un acte raciste dans la seconde ou la dépêche est publiée sur les téléscripteurs. Repris immédiatement en UNE de la PRESSE NATIONALE et INTERNATIONALE, pour mettre au pilori ces corses racistes qui n’existent pas en terme de peuple ou de communauté mais qu’on montre du doigt collectivement. Ce qui ne veut pas dire qu’en Corse, le racisme n’existe pas, mais seulement que le racisme en Corse est présent comme partout ailleurs.
La presse à tendance a dire que l’actrice Française Laetitia Casta (dont tout le monde sait qu’elle est corse) a tourné dans un film remarquable, et que le braqueur de la banque de Toulouse est Corse. C’est à ce moment là que le peuple corse existe, que la communauté corse existe, quand le racisme en corse est montré du doigt ou quand ce peuple qui n’existe pas se rend coupable d’un braco, d’un attentat, d’un vol de mobylette, ou d’avoir pissé sur un réverbère. La presse s’empresse de citer cette Corsitude synonyme d’assassinat, d’attentat, de vols, de terrorisme, de racisme…
Quand un Corse joue en équipe de France, et qu’il gagne c’est la France qui gagne et il devient le français idéal, mais quand ce corse perd, il retrouve de suite son appartenance au peuple (qui n’existe pas) Corse…
« Va comprendre Charles ». Pendant que le bon peuple français (il existe, il est un et indivisible) s’occupe des corses et de la corse, il ne se préoccupe pas de ses problèmes quotidiens.
Les Corses sont responsables du chômage en France, ils sont responsables du trou de la sécurité sociale, de la guerre en Irak, de l’assassinat de Kennedy et de la pollution mondiale.
LAZEZU
LAZEZU
Juin 2008
Juin 2008
- Puisqu’on vous dit que vous êtes français Article du 31 janvier 2007
- L’équipe de France est l’équipe de tous les français ! Mais est ce réellement la notre?
- Puisqu’on vous dit que vous êtes français : Du pain et des jeux pour le bon peuple…
- Circulez y a rien à voir
- Les bienfaits de la Colonisation selon Corse Matin
- La Corse c’est en France
- Les prisonniers politiques sont des voyous
Corsica Infurmazione, L’information Corsesur Unità Naziunale © 2008
RACISME ANTI CORSE (dossier )
mercredi 27 janvier 2016
mardi 26 janvier 2016
discours de Jean-Guy Talamoni avec une introduction de Nadine -Mélusine (grazie à e sorella !
libertat per sempre ! • sexylilkitten: ����Qu'on se le dise : La Corse tout le monde veut y venir !!! Pour travailler , pour y construire des villas sur le littoral etc..... Et on la critique la Corse !! Et on tape du Corse !!! Et bien le Nationalisme à payer !!! Ont court vers une certaine Indépendance ! La france nous traîte de tout ? Ne nous aime pas ? Nous non plus !!! Dans le sillage de Manuel Valls et Christiane Taubira, au terme de leur double voyage en Corse, Christophe Barbier, rédacteur en chef de L'express, est revenu à sa façon sur la situation en Corse. Il l'a fait et dans les colonnes de l'hebdomadaire et sur ITélé. Son propos sur l'Express a entraîné une réaction de Jean-Guy Talamoni. Celle sur ITélé a suscité l'ire de nombre d'insulaires. Et le suppositoire passe mal pour la france ! 1 semaine pour annoncer que le Nationalisme l'a emporté en Corse ! Et je vous le dit : J'ai voté pour ! Voici le discours de Jean Guy Talamoni , le discours qui fait tant de polémique ! Mais qui est vrai !!! Bonne lecture a tous et à toutes . BASGI ♥ MELUSINA. #corse #NAZIONE
Le discours de Jean-Guy Talamoni, président de l'Assemblée de Corse
Jeudi 17 Décembre 2015 : INSTALLATION DE L’ASSEMBLÉE DE CORSE, LE 17.XII.2015
Le discours de Jean-Guy Talamoni, président de l'Assemblée de Corse
Aujourd’hui, plus que jamais, il nous faudra faire de cette Assemblée un lieu de démocratie où chacun pourra dire ce qu’il estimera être le plus favorable au bien commun.
Et notre devoir sera de permettre à chacun d’être écouté, en cherchant, chaque fois que ce sera possible, à faire parler la Corse d’une seule voix. Le respect de l’autre, la volonté de convaincre et de servir les intérêts supérieurs de la Corse guideront nos pas à tous, j’en suis convaincu.
En ce qui me concerne, je serai naturellement le président de tous les élus de cette Assemblée.
Mais auparavant, il me faut dire quelques mots au nom des miens, au nom de cette partie du mouvement national qui n’a jamais accepté de reconnaître le principe de la tutelle française sur la Corse.
Au nom de tous ceux qui, depuis 1768, n’ont cessé de combattre pour que la Corse demeure une nation.
Au nom de ceux qui n’ont jamais renoncé à l’idée d’indépendance.
Et aujourd’hui, nous sommes arrivés ici, et nous sommes arrivés victorieux, avec nos frères de Femu a Corsica que je veux saluer.
Mais nous sommes arrivés ici également avec ce que nous sommes et ce que nous portons.
Nous sommes arrivés ici avec tous ceux qui, comme nous, ont toujours combattu les autorités françaises sur la terre de Corse.
Nous sommes arrivés ici avec les fusiliers de Paoli, tombés à u Borgu et à Pontenovu, nous sommes arrivés ici avec les militants du Front morts pour la Corse.
Nous sommes arrivés ici avec Marcu Maria Albertini et Ghjuvan Battista Acquaviva.
Nous sommes arrivés ici avec la foule immense et muette de tous ceux qui ont donné leur vie pour que vive le peuple corse.
Nous sommes arrivés ici avec nos prisonniers.
Nous sommes arrivés ici avec nos recherchés.
Nous sommes arrivés ici avec le souvenir de nos souffrances, de nos erreurs aussi, mais avec notre foi, avec notre sincérité.
Nous sommes arrivés ici avec les larmes des mères désespérées, des épouses affligées.
Mais nous sommes arrivés ici avec le rire de nos enfants, avec l’espoir immense qui nous transporte, avec l’amour de notre terre et de notre peuple.
Nous sommes arrivés ici avec tous les nôtres, et nous sommes venus pour tendre la main.
Pour tendre la main à tous les Corses, mais aussi à ceux qui sont arrivés chez nous il y a peu, et qui sont venus en amis pour partager notre destin.
Nous sommes arrivés pour tendre la main à ceux qui, dimanche, n’ont pas choisi de nous envoyer ici.
Pour tendre la main à ceux qui, à l’Assemblée de Corse, ont toujours rejeté nos idées.
Pour tendre la main aux élus corses qui ne voulaient pas entendre parler de notre nationalisme.
Pour tendre la main aux Corses qui depuis quarante ans se sont opposés à notre mouvement.
Pour tendre la main, même, aux enfants de ceux qui, il y a trente ans, nous ont combattus avec les armes payées par la France.
Pour tendre la main, à tous ceux qui, dimanche, ont appris notre victoire avec tristesse et inquiétude.
Nous leur disons : vous n’avez rien à craindre. Abandonnez donc cette peur, vous qui entrez, avec nous, sur la voie de l’avenir.
L’heure est venue de la réconciliation de notre communauté avec elle-même.
La Corse appartient à tous les Corses, et le gouvernement national, le premier depuis le XVIIIe siècle, sera celui de tous.
Pour travailler avec nous, nous ne demanderons jamais à personne de renier ni son parcours, ni ses idées, ni sa fidélité, comme nous n'avons jamais accepté de renier notre histoire, nos opinions et nos solidarités.
Demain, tous ensemble, nous travaillerons au bien commun.
Demain, tous ensemble, nous mettrons en œuvre une nouvelle politique, pour la langue, pour la terre, pour un développement au service des Corses, pour la justice sociale.
Demain, nous rencontrerons les représentants de la société corse, employés du public et du privé, artisans, commerçants, agriculteurs, travailleurs culturels, enseignants, étudiants, chômeurs et retraités, socioprofessionnels, associations et syndicats…
Nous les rencontrerons pour élaborer un véritable projet de société, largement partagé par les Corses.
Demain, nous irons ensemble à Paris et à Bruxelles, avec la force que nous ont donné les Corses dimanche, et nous négocierons les moyens de droit nécessaires pour faire que le peuple corse vive bien et qu’il soit maître sur sa terre.
Demain, nous obtiendrons l’amnistie des prisonniers et des recherchés.
Demain, les portes des prisons s’ouvriront car les Corses le veulent et que personne ne pourra s’opposer à cette volonté populaire.
Dimanche, en votant pour les nationalistes, le peuple corse a dit que la Corse n’était pas un morceau d’un autre pays mais une nation, avec sa langue, sa culture, sa tradition politique, sa manière d’être au monde.
Le peuple corse a voulu qu’un nationaliste soit président du Conseil exécutif de la Corse.
Il a voulu également qu’un indépendantiste soit président de cette Assemblée, sanctuaire de la démocratie corse.
Nous essayerons, avec humilité, de nous montrer dignes de cette confiance.
Je terminerai avec deux mots que l’on trouve souvent dans les vieux écrits de nos ancêtres. Aujourd’hui, ces paroles sont plus précieuses que jamais : « Vivez heureux ! »
Evviva a Nazione,
Evviva a Corsica !!!!! Forza Corsica !!
Le discours de Jean-Guy Talamoni, président de l'Assemblée de Corse
Jeudi 17 Décembre 2015 : INSTALLATION DE L’ASSEMBLÉE DE CORSE, LE 17.XII.2015
Le discours de Jean-Guy Talamoni, président de l'Assemblée de Corse
Aujourd’hui, plus que jamais, il nous faudra faire de cette Assemblée un lieu de démocratie où chacun pourra dire ce qu’il estimera être le plus favorable au bien commun.
Et notre devoir sera de permettre à chacun d’être écouté, en cherchant, chaque fois que ce sera possible, à faire parler la Corse d’une seule voix. Le respect de l’autre, la volonté de convaincre et de servir les intérêts supérieurs de la Corse guideront nos pas à tous, j’en suis convaincu.
En ce qui me concerne, je serai naturellement le président de tous les élus de cette Assemblée.
Mais auparavant, il me faut dire quelques mots au nom des miens, au nom de cette partie du mouvement national qui n’a jamais accepté de reconnaître le principe de la tutelle française sur la Corse.
Au nom de tous ceux qui, depuis 1768, n’ont cessé de combattre pour que la Corse demeure une nation.
Au nom de ceux qui n’ont jamais renoncé à l’idée d’indépendance.
Et aujourd’hui, nous sommes arrivés ici, et nous sommes arrivés victorieux, avec nos frères de Femu a Corsica que je veux saluer.
Mais nous sommes arrivés ici également avec ce que nous sommes et ce que nous portons.
Nous sommes arrivés ici avec tous ceux qui, comme nous, ont toujours combattu les autorités françaises sur la terre de Corse.
Nous sommes arrivés ici avec les fusiliers de Paoli, tombés à u Borgu et à Pontenovu, nous sommes arrivés ici avec les militants du Front morts pour la Corse.
Nous sommes arrivés ici avec Marcu Maria Albertini et Ghjuvan Battista Acquaviva.
Nous sommes arrivés ici avec la foule immense et muette de tous ceux qui ont donné leur vie pour que vive le peuple corse.
Nous sommes arrivés ici avec nos prisonniers.
Nous sommes arrivés ici avec nos recherchés.
Nous sommes arrivés ici avec le souvenir de nos souffrances, de nos erreurs aussi, mais avec notre foi, avec notre sincérité.
Nous sommes arrivés ici avec les larmes des mères désespérées, des épouses affligées.
Mais nous sommes arrivés ici avec le rire de nos enfants, avec l’espoir immense qui nous transporte, avec l’amour de notre terre et de notre peuple.
Nous sommes arrivés ici avec tous les nôtres, et nous sommes venus pour tendre la main.
Pour tendre la main à tous les Corses, mais aussi à ceux qui sont arrivés chez nous il y a peu, et qui sont venus en amis pour partager notre destin.
Nous sommes arrivés pour tendre la main à ceux qui, dimanche, n’ont pas choisi de nous envoyer ici.
Pour tendre la main à ceux qui, à l’Assemblée de Corse, ont toujours rejeté nos idées.
Pour tendre la main aux élus corses qui ne voulaient pas entendre parler de notre nationalisme.
Pour tendre la main aux Corses qui depuis quarante ans se sont opposés à notre mouvement.
Pour tendre la main, même, aux enfants de ceux qui, il y a trente ans, nous ont combattus avec les armes payées par la France.
Pour tendre la main, à tous ceux qui, dimanche, ont appris notre victoire avec tristesse et inquiétude.
Nous leur disons : vous n’avez rien à craindre. Abandonnez donc cette peur, vous qui entrez, avec nous, sur la voie de l’avenir.
L’heure est venue de la réconciliation de notre communauté avec elle-même.
La Corse appartient à tous les Corses, et le gouvernement national, le premier depuis le XVIIIe siècle, sera celui de tous.
Pour travailler avec nous, nous ne demanderons jamais à personne de renier ni son parcours, ni ses idées, ni sa fidélité, comme nous n'avons jamais accepté de renier notre histoire, nos opinions et nos solidarités.
Demain, tous ensemble, nous travaillerons au bien commun.
Demain, tous ensemble, nous mettrons en œuvre une nouvelle politique, pour la langue, pour la terre, pour un développement au service des Corses, pour la justice sociale.
Demain, nous rencontrerons les représentants de la société corse, employés du public et du privé, artisans, commerçants, agriculteurs, travailleurs culturels, enseignants, étudiants, chômeurs et retraités, socioprofessionnels, associations et syndicats…
Nous les rencontrerons pour élaborer un véritable projet de société, largement partagé par les Corses.
Demain, nous irons ensemble à Paris et à Bruxelles, avec la force que nous ont donné les Corses dimanche, et nous négocierons les moyens de droit nécessaires pour faire que le peuple corse vive bien et qu’il soit maître sur sa terre.
Demain, nous obtiendrons l’amnistie des prisonniers et des recherchés.
Demain, les portes des prisons s’ouvriront car les Corses le veulent et que personne ne pourra s’opposer à cette volonté populaire.
Dimanche, en votant pour les nationalistes, le peuple corse a dit que la Corse n’était pas un morceau d’un autre pays mais une nation, avec sa langue, sa culture, sa tradition politique, sa manière d’être au monde.
Le peuple corse a voulu qu’un nationaliste soit président du Conseil exécutif de la Corse.
Il a voulu également qu’un indépendantiste soit président de cette Assemblée, sanctuaire de la démocratie corse.
Nous essayerons, avec humilité, de nous montrer dignes de cette confiance.
Je terminerai avec deux mots que l’on trouve souvent dans les vieux écrits de nos ancêtres. Aujourd’hui, ces paroles sont plus précieuses que jamais : « Vivez heureux ! »
Evviva a Nazione,
Evviva a Corsica !!!!! Forza Corsica !!
lundi 11 janvier 2016
Chant Corse / Hosanna in excelsis
Livia corsica il y a 6 mois
+thuthurreri Hosanna in excelsis…
Pà issi cori chi sunniavanu
Di pace è sponde calme
Cù le so speranze appese
A isse tozze assuliate,
Pà issi venti chi scatinavanu
E mente di l’umani
Di lé so idee armate
Par un’antru lindumani
Senti cum’eo pregu,
cum’eo pregu.
Hosanna, in excelsis
Oghje un’anima hà u fretu
Vedi un’anima hà u fretu
Pà isse vite accugliate
A e porte di u supranu
E Ie so quattru staghjoni
Di ricordi a e nostre labbre
Pà e stonde di a storia
Chi scrivianu isse mane
E tanti suspiri offerti
A lu sognu chi s’alluntana
Vedi ind’ù ni so li nostri tempi,
Duri so li nostri tempi
Hosanna, in excelsis
In unitate
Spiritus sanctis
Senti cum’eo pregu
Cum’eo pregu…
Bruno Susini è l'autore di questa canzona :) eccu le parole :)
Pà issi cori chi sunniavanu
Di pace è sponde calme
Cù le so speranze appese
A isse tozze assuliate,
Pà issi venti chi scatinavanu
E mente di l’umani
Di lé so idee armate
Par un’antru lindumani
Senti cum’eo pregu,
cum’eo pregu.
Hosanna, in excelsis
Oghje un’anima hà u fretu
Vedi un’anima hà u fretu
Pà isse vite accugliate
A e porte di u supranu
E Ie so quattru staghjoni
Di ricordi a e nostre labbre
Pà e stonde di a storia
Chi scrivianu isse mane
E tanti suspiri offerti
A lu sognu chi s’alluntana
Vedi ind’ù ni so li nostri tempi,
Duri so li nostri tempi
Hosanna, in excelsis
In unitate
Spiritus sanctis
Senti cum’eo pregu
Cum’eo pregu…
Bruno Susini è l'autore di questa canzona :) eccu le parole :)
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Les doux rayons réchauffent les fronts
Dans la campagne le vent murmure
Et chaque silence se joue
Là au-dessus sur les collines
Le cœur plein presque à éclater
Les hommes sont prêts à en finir
Pour défendre leur liberté
Avec la force immense d’un élan commun
Pour crier à l’anglais que cette terre ne s'enchaine pas
Et qu’ici règnent le soleil avec la lune
Et qu’ici règnent le soleil avec la lune
Le soleil brille à l’horizon
Doucement enfièvre les esprits
Dans la campagne le vent murmure
Et chaque silence se range Et la bataille se déchaîne
On tue pour ne pas être tué
Le fer contre et le fer frappe
Jusqu'à confondre la voix et l’écho
Avec la force immense d’un élan commun
Pour crier à l’anglais que cette terre ne s'enchaine pas
Et qu'ici règnent le soleil avec la lune
Et qu'ici règnent le soleil avec la lune
Le Soleil meurt à l’horizon
Il se cache derrière la montagne
Le vent caresse la campagne
Le brouillard s’est fait pesant
Seul pour rompre le silence
Et donner un souffle à ma muse
Et comme un ultime au revoir
Se plaint une cornemuse
Demain un soleil à l’horizon
Brûlera à chauffer les fronts
Dans la campagne calmée
On entendra chaque coup de vent
Et diront les voix et les échos
Réunis pour l’éternité
Parce que tuer ou être tué
Pour défendre sa liberté
Avec la force immense d’un élan commun
Pour crier à l’anglais que cette terre ne s'enchaine pas
Et qu'ici règnent le soleil avec la lune
Et qu'ici règnent le soleil avec la lune