vendredi 30 novembre 2012
jeudi 29 novembre 2012
lundi 26 novembre 2012
dimanche 25 novembre 2012
samedi 24 novembre 2012
jeudi 22 novembre 2012
Blog de Jean-Noël Guérini | Président du Conseil général | Sénateur des Bouches-du-Rhône | Faire gagner Marseille en 2014 » Archive du blog » Jean-Noël Guerini : « Les titres, sous titres de la « Une » de La Provence ainsi que les articles publiés en page intérieure, sont mensongers et diffamatoires »
mardi 20 novembre 2012
Citations de Dalaï Lama - Babelio.com
Citations de Dalaï Lama - Babelio.comL'Art du bonheur : Sagesse et sérénité au quotidien de Dalaï Lama
Tous les êtres humains connaissent la douleur et la souffrance, mais ceux qui ont été élevés au sein d'une culture orientale paraissent mieux tolérer l'une et l'autre. Cela ne serait-il pas dû pour partie à leurs convictions? Il est vrai que la souffrance est plus visible parmi les nations pauvres que dans les pays riches. La faim, la pauvreté, la maladie et la mort y sont présentes, au vu et au su de tous. Celui qui tombe malade, celui qui vieillit, n'y est pas marginalisé : on ne le place pas en maison de retraite pour le confier à des professionnels de la santé - il demeure au sein de la communauté, sa famille prend soin de lui. Du coup, dans ces sociétés où l'on vit journellement au contact des réalités de l'existence, il est moins facile de nier que la vie se caractérise par la souffrance, que cette dernière fait naturellement partie de l'existence.
À mesure que la société occidentale à acquis la faculté d'améliorer les conditions de vie matérielles, d'en soulager la rudesse, elle semble avoir perdu son aptitude à faire face aux souffrances qui subsistent malgré tout. Les sociologues ont mis en évidence que beaucoup de gens, dans la société occidentale, ont tendance à vivre dans l'idée que le monde serait somme toute un endroit agréable, que la vie serait équitable, et que les braves gens - comme eux - ne mériteraient de vivre que de bonnes choses. Inévitablement, la souffrance vient ébranler ces croyances.
À mesure que la société occidentale à acquis la faculté d'améliorer les conditions de vie matérielles, d'en soulager la rudesse, elle semble avoir perdu son aptitude à faire face aux souffrances qui subsistent malgré tout. Les sociologues ont mis en évidence que beaucoup de gens, dans la société occidentale, ont tendance à vivre dans l'idée que le monde serait somme toute un endroit agréable, que la vie serait équitable, et que les braves gens - comme eux - ne mériteraient de vivre que de bonnes choses. Inévitablement, la souffrance vient ébranler ces croyances.
lundi 19 novembre 2012
Oui. Moi je sais… M. Valls,U Levante autorise M. Valls à surfer sur son site. Il y trouvera matière pour répondre à ses questions.
Oui. Moi je sais… M. Valls
Oui. Moi je sais… M. Valls
Oui. Moi je sais… M. Valls
M. Valls nous invite à parler. J’ai d’abord eu envie d’écrire que nous, on l’exhorte à la fermer. Et puis deux nuits et deux jours sont passés.
Deux nuits et deux jours, seul avec ma conscience.
Capu à capu.
Avec ce poids trop lourd à porter.
Trop pesant.
Suffocant.
Alors j’ai craqué, il fallait que je le fasse.
Que je libère ma conscience, il fallait que je parle.
Et je me suis trainé, haletant, hagard, épuisé par deux nuits et deux jours sans sommeil, je me suis trainé jusqu’au clavier pour lui confesser tout ce que je savais et que je ne pouvais plus garder pour moi.
Il avait raison Valls, les Corses doivent coopérer si on veut sortir de cette spirale mortifère. On a tous une responsabilité dans la situation actuelle et si on se tait, on est complice. Car on sait tout.
Ou presque.
Valls l’a dit :
- Si on sait, il faut parler, chacun doit prendre ses responsabilités.
En Corse, on connaît les commanditaires, on sait, mais on ne parle pas.
Alors j’ai pris mes responsabilités.
Et j’ai balancé. D’abord hésitant. Presque honteux. Mais Valls l’a dit : sans les Corses pas de salut.
Oui, moi, je sais !
Je sais !
Je les connais, je ne les connais que trop !
Ceux qui achètent et attendent. Ceux qui achètent puis déclassent, ou font déclasser, par centaines d’hectares des pans entiers de collines au dessus d’un golfe aux eaux limpides pour les rendre constructibles, les faisant passer de maquis pour les sangliers à lots à 2 millions d’euros.
Je sais qu’il suffit d’un simple trait de crayon sur un zonage.
Un simple trait de crayon, baguette magique transformant la terre en or.
Un trait de crayon, des millions d’euros.
Ceux qui montent des SCI pour y implanter de pharaoniques projets immobiliers.
Ajoutant ainsi des millions d’euros aux millions d’euros.
SCI dont l’évocation seule des noms des gérants fait frémir.
Ceux qui construisent des villas qui ruissellent jusqu’au bord de l’eau, sur l’inaliénable domaine public.
Ceux qui confisquent les plages.
Ceux qui murdeberlinnisent et privatisent des criques.
Ceux qui construisent des ports privés.
Ceux qui tendent des câbles d’aciers pour empêcher quiconque d’accoster.
Ceux qui font détourner les sentiers littoraux.
Ceux qui rampent à présent jusqu’à l’intérieur des terres.
Il fallait que je me purge de cette lie.
Comment ais-je pu me taire si longtemps ?
Je connaissais les causes de cette fameuse dérive mafieuse, les rouages, comment se fabriquaient les profits colossaux, comment se lessivait l’argent sale, les noms.
Et j’ai écrit, frénétiquement, en transe.
Pour tout dire à M. Valls.
Pour sauver ce qui restait à sauver.
Je vais dire,
À M. Valls en personne,
Parce qu’aux administrations responsables c’était déjà fait,
Parce qu’aux différents préfets s’étant succédés sur l’ile, c’était fait,
Aux différents ministres l’ayant précédé, c’était fait.
Mais lui, lui, je sais que ce sera différent.
Pierre-Laurent Santelli
Deux nuits et deux jours, seul avec ma conscience.
Capu à capu.
Avec ce poids trop lourd à porter.
Trop pesant.
Suffocant.
Alors j’ai craqué, il fallait que je le fasse.
Que je libère ma conscience, il fallait que je parle.
Et je me suis trainé, haletant, hagard, épuisé par deux nuits et deux jours sans sommeil, je me suis trainé jusqu’au clavier pour lui confesser tout ce que je savais et que je ne pouvais plus garder pour moi.
Il avait raison Valls, les Corses doivent coopérer si on veut sortir de cette spirale mortifère. On a tous une responsabilité dans la situation actuelle et si on se tait, on est complice. Car on sait tout.
Ou presque.
Valls l’a dit :
- Si on sait, il faut parler, chacun doit prendre ses responsabilités.
En Corse, on connaît les commanditaires, on sait, mais on ne parle pas.
Alors j’ai pris mes responsabilités.
Et j’ai balancé. D’abord hésitant. Presque honteux. Mais Valls l’a dit : sans les Corses pas de salut.
Oui, moi, je sais !
Je sais !
Je les connais, je ne les connais que trop !
Ceux qui achètent et attendent. Ceux qui achètent puis déclassent, ou font déclasser, par centaines d’hectares des pans entiers de collines au dessus d’un golfe aux eaux limpides pour les rendre constructibles, les faisant passer de maquis pour les sangliers à lots à 2 millions d’euros.
Je sais qu’il suffit d’un simple trait de crayon sur un zonage.
Un simple trait de crayon, baguette magique transformant la terre en or.
Un trait de crayon, des millions d’euros.
Ceux qui montent des SCI pour y implanter de pharaoniques projets immobiliers.
Ajoutant ainsi des millions d’euros aux millions d’euros.
SCI dont l’évocation seule des noms des gérants fait frémir.
Ceux qui construisent des villas qui ruissellent jusqu’au bord de l’eau, sur l’inaliénable domaine public.
Ceux qui confisquent les plages.
Ceux qui murdeberlinnisent et privatisent des criques.
Ceux qui construisent des ports privés.
Ceux qui tendent des câbles d’aciers pour empêcher quiconque d’accoster.
Ceux qui font détourner les sentiers littoraux.
Ceux qui rampent à présent jusqu’à l’intérieur des terres.
Il fallait que je me purge de cette lie.
Comment ais-je pu me taire si longtemps ?
Je connaissais les causes de cette fameuse dérive mafieuse, les rouages, comment se fabriquaient les profits colossaux, comment se lessivait l’argent sale, les noms.
Et j’ai écrit, frénétiquement, en transe.
Pour tout dire à M. Valls.
Pour sauver ce qui restait à sauver.
Je vais dire,
À M. Valls en personne,
Parce qu’aux administrations responsables c’était déjà fait,
Parce qu’aux différents préfets s’étant succédés sur l’ile, c’était fait,
Aux différents ministres l’ayant précédé, c’était fait.
Mais lui, lui, je sais que ce sera différent.
Pierre-Laurent Santelli
U Levante autorise M. Valls à surfer sur son site. Il y trouvera matière pour répondre à ses questions.
vendredi 16 novembre 2012
mercredi 14 novembre 2012
lundi 12 novembre 2012
samedi 10 novembre 2012
Trasmetta (JM Weber / M Solinas / Dopu Cena / WeGotProd)
Dopu Cena raprisintarà a Corsica è a so Lingua u 1ma di Dicembri in Xixon (Asturii / Spagna) pà u Liet Internaziunali.
Fiuri di WeGotProd è u Live (France3Viastella)
Dopu Cena représentera laCorse et sa langue le 1er Décembre à Gijon (Asturies/Espagne)dans le cadre du Liet International. Images WeGotProd et U live France3Viastella
Fiuri di WeGotProd è u Live (France3Viastella)
Dopu Cena représentera laCorse et sa langue le 1er Décembre à Gijon (Asturies/Espagne)dans le cadre du Liet International. Images WeGotProd et U live France3Viastella
lundi 5 novembre 2012
Digne-les-Bains sous le choc apr�s la mort de Yann, jeune pompier de 16 ans, tu� lors de son premier feu - RTL.fr
Link
"Que Tous Les Deux Reposent En Paix ! Condol�ances aux familles et � la grande famille des Sapeurs-Pomiers !"
dimanche 4 novembre 2012
jeudi 1 novembre 2012
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