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blog destiné à mes amis ,concerne : la Provence,l'Occitan,la Corse, la langue d'Oc, etc !!!

mercredi 30 septembre 2015

libertat per sempre ! • Partagé en mode public  -  29 sept. 2015 L’EUROPE...

libertat per sempre ! • Partagé en mode public  -  29 sept. 2015 L’EUROPE...Partagé en mode public  -  29 sept. 2015

 
L’EUROPE AUTORISE UN NOUVEAU PESTICIDE TOXIQUE POUR LES ABEILLES
EUROPE AUTHORIZES A NEW  PESTICIDE TOXIC FOR BEES
LE SULFOXAFLOR, PESTICIDE AUTORISÉ EN EUROPE DEPUIS JUILLET, VIENT D’ÊTRE INTERDIT DANS UNE GRANDE PARTIE DES ETATS-UNIS SUITE À UNE PLAINTE DES ASSOCIATIONS DE PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT ET DES POLLINISATEURS, À CAUSE DE SES DÉGÂTS ALARMANTS SUR LES ABEILLES. LES AUTORITÉS SANITAIRES EUROPÉENNES LAISSENT POURTANT DEUX ANS À L’AGROCHIMIE POUR PROUVER LE CONTRAIRE : DEUX ANS PENDANT LESQUELS LE PRODUIT SERA COMMERCIALISÉ, ET LES ABEILLES DÉCIMÉES.
En juillet dernier, la Commission européenne autorisait l’utilisation d’un nouveau pesticide sur les cultures en Europe, le sulfoxaflor. Cette nouvelle substance active est un insecticide neurotoxique très similaire à l’action des pesticides néonicotinoïdes. Une autorisation étonnante compte tenu du moratoire en cours sur trois néonicotinoïdes (Clothianidine, Thiametoxame, et Imidaclopride), notoirement responsables de la disparition massive des abeilles en Europe et dans le monde.
Autorisation encore plus surprenante au regard du rapport de l’EFSA, l’autorité sanitaire européenne chargée d’évaluer la toxicité des substances pour décider de leur mise sur le marché : l’institution émet un avis positif… tout en reconnaissant « un risque élevé pour les abeilles »…
Quand la porte se ferme, l’industrie agrochimique passe par la fenêtre
Petit rappel. En 2013, trois substances sont rendues coupables par des centaines d’études scientifiques indépendantes de décimer les populations d’abeilles. Face à ce constat, et poussée par les associations et les citoyens, la Commission Européenne décide d’interdire partiellement et provisoirement ces substances : un moratoire qui prend fin en décembre prochain.
Une fois encore, l’industrie a un coup d’avance. Elle obtient la mise sur le marché de nouvelles substances très proches des néonicotinoïdes, encore sous-étudiées par la communauté scientifique, mais dont même les autorités sanitaires reconnaissent la dangerosité pour les abeilles.
L’EFSA a annoncé qu’elle donnait deux ans à Dow AgroSciences, l’entreprise qui commercialise le sulfoxaflor, pour prouver son innocuité sur les abeilles. Il s’agit donc d’autoriser un produit, de le laisser faire des dégâts irréparables sur les pollinisateurs et l’environnement, et faire ce constat dans deux ans et le retirer du marché…
Abeilles décimées aux Etats-Unis, le sulfoxaflor interdit
Deux ans, c’est le temps qu’il a fallu aux organisations apicoles et citoyennes américaines pour faire reconnaître la dangerosité du sulfoxaflor, et faire annuler son autorisation de mise sur le marché.
En 2013, l’EPA, l’autorité sanitaire américaine, autorisait cette substance sans en analyser l’impact sur les abeilles. Apiculteurs, citoyens, et défenseurs de l’environnement tirent la sonnette d’alarme, et s’organisent pour attaquer la décision de l’EPA en justice.

Un procès qu’ils viennent de remporter, puisqu’une cour d’appel américaine vient de faire annuler l’autorisation de mise sur le marché du sulfoxaflor, en estimant que l’EPA avait violé la loi fédérale en autorisant cette substance sans disposer d’études sur son impact sur les abeilles.
Gagnons deux ans pour nos abeilles
De toute évidence, la procédure suivie par l’EFSA en Europe est tout aussi irrégulière que celle de son homologue américaine l’EPA.
A moins d’une mobilisation rapide et massive, le scénario américain laisse présumer de ce qu’il va se passer dans les deux prochaines années : le sulfoxaflor sera utilisé massivement sur les cultures, causant des dégâts irréparables sur les abeilles et autres pollinisateurs essentiels pour l’agriculture, les apiculteurs vont tirer la sonnette d’alarme, suivis par les citoyens, les scientifiques, les associations concernées… Il faudra se battre pour obtenir le retrait de ces pesticides, l’industrie agrochimique, qui aura engrangé des bénéfices sur un pesticide reconnu comme dangereux dès le départ, résistera avec la force qu’on lui connait et en 2017, lorsque l’EFSA demandera des comptes, s’engagera une bataille scientifique comme celle qui est actuellement en cours concernant les trois autres néonicotinoïdes en passe d’être interdits.

POLLINIS prépare d’ores et déjà la riposte avec une grande campagne de mobilisation dans les semaines à venir.
Auteur : Pollinis
Publié le 28 septembre 2015
THE sulfoxaflor, PESTICIDES AUTHORIZED IN EUROPE SINCE JULY FORBIDDEN IN JUST BEEN MUCH OF THE UNITED STATES AFTER A COMPLAINT OF ASSOCIATIONS OF ENVIRONMENTAL PROTECTION AND POLLINATORS, BECAUSE OF ITS DAMAGE ON BEES alarming. EUROPEAN HEALTH AUTHORITIES BUT LEAVE TWO YEARS TO PROVE THE CONTRARY TO AGROCHEMICALS: TWO YEARS DURING WHICH WILL BE MARKETED THE PRODUCT, AND THE BEES DÉCIMÉES._
Last July, the European Commission authorized the use of a new pesticide on crops in Europe, the sulfoxaflor. This new active substance is a neurotoxic insecticide very similar to the action of neonicotinoid pesticides. An amazing authorization given the current moratorium on three neonicotinoids (clothianidin, Thiametoxame and Imidacloprid), notoriously responsible for the massive disappearance of bees in Europe and worldwide.
Permission even more surprising in view of the EFSA report, the European health authority responsible for assessing the toxicity of substances to decide their placing on the market: the institution takes a positive view ... while recognizing "high risk for bees "...
* When the door closes, the agrochemical industry goes out the window *
Little reminder. In 2013, three substances have been responsible for hundreds of independent scientific studies decimating bee populations. Given this situation, and pushed by the associations and citizens, the European Commission decided to partially and temporarily prohibit these substances: a moratorium, which expires in December.
Once again, the industry one step ahead. She gets the marketing of new substances of very close neonicotinoids, still under-studied by the scientific community, but even the health authorities recognize the danger to bees.
EFSA announced it was giving two years to Dow AgroSciences, the company which markets the sulfoxaflor to prove its safety on bees. This is therefore to authorize a product, let it do irreparable damage on pollinators and the environment, and to make this observation in two years and withdraw from the market ...
* Bees decimated in the United States, sulfoxaflor prohibited *
Two years is the time it took to American beekeeping and civic organizations to recognize the dangers of sulfoxaflor, and to cancel the authorization to market.
In 2013, the EPA, the US health authority, authorized this substance without analyzing the impact on bees. Beekeepers, citizens, environmentalists are sounding the alarm, and organize to challenge the decision of the EPA to justice.

A lawsuit they have won since a US court of appeals has just cancel the authorization for the sulfoxaflor market, considering that the EPA had violated federal law by allowing this substance without having to studies on the impact on bees.
* Let's win two years for our bees *
Obviously, the procedure followed by the EFSA in Europe is just as uneven as that of its American counterpart EPA.
Unless rapid and massive mobilization, the US scenario lets assume what will happen in the next two years: the sulfoxaflor will be massively used on crops, causing irreparable damage to bees and other pollinators essential to Agriculture, beekeepers will pull the alarm, followed by citizens, scientists, associations concerned ... He will fight for the withdrawal of these pesticides, agrochemical industry, which will have earned profits on a pesticide regarded as dangerous from the start, resist with the strength that he knows and in 2017, when asked EFSA accounts, will undertake a scientific battle like the one currently under way concerning the other three neonicotinoids on track to be prohibited.

Pollinis of already preparing the response with a large mobilization campaign in the coming weeks.
Author Pollinis
Published September 28, 2015
Références :
EFSA (European Food Safety Authority), 2014. Conclusion on the peer review of the pesticide risk assessment of the active substance sulfoxaflor. EFSA Journal 2014;12(5):3692, 170 pp. doi:10.2903/j.efsa.2014.3692
« Data gaps were identified in the Section on ecotoxicology. With the available assessments a high risk to bees was not excluded for field uses. A high long-term risk was indicated for the small herbivorous mammal scenario for field uses in vegetables and in cotton.«

Décision de la cour d’appel américaine :http://earthjustice.org/sites/default/files/files/sulfoxaflor-opinion.pdf

Fiche technique du sulfoxaflor :http://www.mda.state.mn.us/chemicals/pesticides/regs/~/media/Files/chemicals/reviews/nair-sulfoxaflor.pd
Moins

vendredi 18 septembre 2015

La chambre vide (par Frédéric Monteil) - fiche chanson - B&M

La chambre vide (par Frédéric Monteil) - fiche chanson - B&MLa chambre vide, la chambre vide,

Aujourd'hui que vais-je devenir sans toi ?
La chambre vide, la chambre vide,
Est si grande lorsque tu n'y es pas.

Seul avec nos souvenirs, 
Je m'y sens comme un étranger perdu sans toi.
Si les murs pouvaient parler, 
Ils te diraient combien je hais, 
Combien je fais la vie sans toi, sans toi.

La chambre vide, la chambre vide,
Désormais que vais-je devenir sans toi ?
La chambre vide, la chambre vide,
Est sans vie dès que tu n'y es pas.

Le piano ne chante plus,
La cage est vide, les fleurs sont fanées,
Depuis des mois.
Ton absence à tout moment, me crie ton nom,
Et le silence autour de moi, me parle de toi.

La chambre vide, la chambre vide,
La chambre vide où je t'attends. 

mercredi 9 septembre 2015

Point de vue sur la crise des migrants - Jean-Guy Talamoni

Point de vue sur la crise des migrants - Jean-Guy Talamoni

Point de vue sur la crise des migrants
La crise dite « des migrants » a donné lieu à une généreuse mobilisation, mais aussi à des réticences, voire à des propos difficilement acceptables. Il nous appartient, comme à tout courant politique, d’exprimer une position et de le faire clairement. Le rôle des responsables politiques est selon nous de proposer des chemins au peuple et non de suivre une opinion publique désorientée et inquiète pour s’assurer de ses suffrages le moment venu.
Rappelons dès l’abord quelques évidences. Dans la crise qui nous occupe, l’Europe a une responsabilité écrasante puisqu’elle a directement contribué à créer le chaos existant aujourd’hui au Moyen-Orient. La Corse, nation d’Europe, n’a pas eu son mot à dire, n’étant pas pour l’heure un Etat constitué. Ainsi, ses élus légitimes n’ont pas été consultés lorsque la base de Solenzara située sur son territoire a été utilisée pour procéder à des opérations militaires hasardeuses, quand elles n’étaient pas tout simplement démentes. L’aspect géopolitique est évidemment central dans cette affaire. L’Europe politique que nous appelons de nos vœux aura des décisions à prendre dans les temps à venir pour corriger les terribles erreurs commises dans les Etats dont nous recevons aujourd’hui les ressortissants. En effet, contribuer au rétablissement de la paix dans ces pays est une nécessité absolue, sauf à considérer que cet exode est dans l’ordre des choses et qu’il doit se poursuivre.
Nous en venons à la situation d’urgence et à l’attitude à adopter. D’aucuns soulèvent les difficultés sociales de la Corse qui ne seraient pas compatibles avec l’accueil des réfugiés. Certains étayent leur analyse en faisant observer que dans l’île même les cas de précarité sont nombreux, et que ces derniers doivent être prioritaires. L’analyse peut paraître logique. Elle est pourtant spécieuse. On pourrait tout d’abord remarquer que ceux qui viennent au secours des réfugiés sont souvent les mêmes qui se sont engagés depuis des lustres au bénéfice des précaires locaux. Et qu’à l’inverse, bien souvent, ceux qui évoquent ces derniers dans leurs discours actuels s’en sont peu préoccupé jusqu’à présent…
Pour autant, les difficultés de la Corse sont réelles. Nos taux de chômage et de précarité sont extrêmement élevés. Dans le même temps, notre taux d’immigration est deux fois plus élevé que la moyenne des pays de l’OCDE, et quatre fois plus élevé que celui de la France… (Et oui, contrairement à une idée répandue dans l’hexagone, ce dernier est loin d’être accueillant !) Pour paraphraser Michel Rocard « La Corse ne peut accueillir toute la misère du monde mais elle doit en prendre sa part », propos que le Premier ministre appliquait quant à lui à la France, conciliant humanisme et bon sens, éthique de conviction et éthique de responsabilité. S’agissant de l’immigration économique, on peut dire que jusqu’à présent la Corse en a pris plus que sa part, ce qui est tout à son honneur mais qui pose pour l’avenir le problème du contrôle par notre peuple de ses flux migratoires, pouvoir dont disposent déjà les Catalans et que le mouvement national revendique depuis fort longtemps.
Toutefois, il ne s’agit pas ici d’un cas d’immigration économique mais de réfugiés que la guerre a jetés vers l’Europe. Que faire devant cette urgence ? Tenter de barricader ses portes en tremblant, comme certains le suggèrent? Ceux qui ont « une certaine idée de la Corse », ceux qui considèrent que nous sommes une nation, et non une population apeurée sur un morceau de territoire français, ne peuvent avoir cette attitude. En premier lieu, parce que le droit d’asile relève du jus gentium appliqué par tous les pays civilisés. En second lieu, parce que cette forme particulière d’hospitalité est chez nous essentielle, de par nos racines culturelles chrétiennes et notre propre tradition politique. À cet égard, le paolisme n’a pas fini de nous délivrer ses enseignements.
Par ailleurs, ne peut-on mettre à profit l’émotion suscitée par cet épisode dramatique pour fédérer toutes les ressources disponibles dans le sens d’une solidarité organisée face à toutes les situations de détresse ? L’Assemblée de Corse ne pourrait-elle se doter d’une entité politique en charge de la coordination de l’ensemble des administrations, des associations et des particuliers, non seulement pour participer – dans la mesure de nos modestes capacités – à la gestion de la présente situation de crise, mais à plus long terme pour venir en aide à tous ceux qui dans l’île éprouvent les plus grandes difficultés ? Ainsi, non seulement les détresses locales ne seraient pas délaissées au profit des réfugiés mais ces derniers auraient provoqué une prise de conscience salutaire au bénéfice de tous. Car la générosité et la solidarité n’ont pas vocation à se diviser mais à s’additionner.
Lors du prochain débat à l’Assemblée de Corse, nous ferons des propositions en ce sens qui nous paraît être celui du courage, de la dignité et de la responsabilité.

lundi 7 septembre 2015

L'Histoire du drapeau corse.

CorsicaNustrale il y a 1 an

 Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, dont l'article 35 stipule :"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs." libertà
 CorsicaNustrale il y a 2 ans
 En France, quand on dit? : "La Palestine libre", on applaudit. Quand ondit : "La Syrie libre", on applaudit aussi. Mais quand le? peuple? corse clame : "Corsica libera", alors les corses sont aussitôt taxés de dangereux terroristes, racistes et xénophobes.

Et pendant? ce temps la Corse est occupée illégalement par l’État français? et sa colonisation de peuplement qui détruisent inlassablement le peuple corse, sa langue et sa culture jusqu'à sa complète disparition.
 Le drapeau corse m'a toujours procuré un sentiment dé fierté et d'émotion. C'est le symbole qui réunit tous les corses au sein des mêmes valeurs. Mais je trouve qu'on ne le voit pas assez flotter aux devantures de nos maisons et sur les balcons des immeubles de notre île. Un peu plus de patriotisme ne fait pas de mal.  
 CorsicaNustrale il y a 4 ans
 @Tiasmud, Je l'ai dis au début de la vidéo. Il y a beaucoup d'autres choses qu'il ne faut jamais perdre de vue que, par exemple, jusqu'à la vieille de la Seconde guerre mondiale, l'État français avait interdit notre drapeau dans la rue ou aux fenêtres car jugé séditieux. Des amendes et même des peines de prisons étaient infligées aux contrevenants. Mais les corses ont résisté pour sauvegarder leur drapeau national. Continuons de resister, pour la langue et le reste de nos droits...

Corsica-Etre corse, esse Corsu

Vergon'à tè, o Corsu, chì ti ne vendi a tarra ò a casa di i to' antenati !!


Honte à toi, o corse, qui vend la terre ou la maison de tes ancêtres !!

A Francisata - La francisation de la Corse

Napoléon III, cette crapule, avec sa politique de "Francisata" ["Francisation"], est responsable d'une des étapes fondamentale de la destruction du peuple corse. 

Au lieu de mettre un terme au lois douanières de 1818 (abolies en 1912 sous la pression populaire et politique insulaire) qui taxaient lourdement les produits manufacturés en Corse vers la France et détaxaient ceux qui entraient dans l'île détruisant ainsi toute son économie, Napoléon III ouvrit les emplois dans l'administration (jusqu'alors interdits aux corses) et l'armée coloniale. Des villages entiers se vidèrent et les corses furent ainsi envoyés en masse vers les colonies. Les corses en constitueront environ 30 % des effectifs alors qu'ils ne représentaient que 0,4 % de la population française.

dimanche 6 septembre 2015

Doomsday dans le Vieux Monde: Europe balayé les hordes de migrants gourmands

Doomsday dans le Vieux Monde: Europe balayé les hordes de migrants gourmands

Doomsday dans le Vieux Monde:
l'Europe a balayé les hordes de migrants gourmands

Envoyée spéciale de "Komsomolskaïa Pravda" Daria Aslamova 
visité plusieurs pays européens, qui arrivent tous les jours 
des dizaines de milliers de personnes en provenance d'Afrique et du Moyen-Orient. Mais ce ne sont pas les réfugiés classiques. Ils se sentent maîtres de la nouvelle place, méprisent aidant 
les résidents locaux et exigent que tous les nouveaux produits
Petite ville Kanjiža à la frontière serbo-hongroise.Chaque matin, à six heures, les cloches de l'église de Pierre et Paul commencer ses chansons tristes. Ils pleurent si aigu et désespéré à sept heures du matin, que le sommeil est impossible. Je vais à la fenêtre et tire le rideau. La place en face de l'hôtel était vide. Ils sont partis. Seul le "regarder" - quelques jeunes hommes à la peau foncée qui dorment sur ​​l'herbe sous les arbres. Mais c'est la première longue distance arrêt de bus sur les principaux freins, libérant un nouveau lot de réfugiés. Fondamentalement, il est un homme de 30 ans en jeans et T-shirts. Mais il ya des femmes en hijab avec de petits enfants dans leurs bras. Malgré la chaleur épuisante, les femmes emmitouflés dans un endroit sombre des vêtements de laine. Certains gants même noir. Tous ces gens sont très confiant et complètement indifférent au charme de l'ancienne ville chrétienne. A neuf heures sur le coin ouvert le café "Venise", où vont les réfugiés pour charger sa marque de nouveaux iPhones et ordinateurs portables, aller aux toilettes ou se laver les cheveux dans l'évier.

Dans la soirée dans le centre de Kanjiža pas de place pour balancer automne. Des centaines de personnes se sont installés un camp de fortune sur deux places centrales.Par les estimations les plus prudentes, il ya environ deux mille personnes. Ils sont assis sur l'herbe, manger, boire et regarder avec dédain sur les nettoyeurs de la ville qui ont à les ramasser, sacs en plastique, bouteilles, mégots de cigarettes, des restes de nourriture.
Le groupe de réfugiés qui se préparent à traverser illégalement la frontière par la forêt hongroise 
Nuit descend. Darkness - un signal. Les gens sont divisés en groupes de 30-50 personnes. Dans chacun d'eux - leur chef. A onze PM Group à distance l'avance à la frontière serbo-hongroise. Les résidents regardaient en silence à travers la fenêtre comme le calme, comme une ville morte déplacer ombres noires immigrants. "Ils marchent sur ​​la ville, puis ils ramassent sur ​​les autobus mafia tzigane - a dit le chauffeur de taxi Victor. - Nous ne sommes pas autorisés à transporter des clandestins. La police a arrêté cinq voitures de nos taxis. Mais Tsiganes font ce qu'ils veulent. Ils - les conducteurs principaux de réfugiés partout dans la route des Balkans. Réfugiés roms dovozyat près de la frontière, puis les conduisent à travers la forêt en Hongrie que pour les chemins connus. Tout a commencé en Janvier. Les gens ont commencé à arriver organisée tous les jours. Et l'écoulement de tout augmente. Franchement, nous avions peur. Que deviendrons-nous? "


Grande Migration

En 2015, l'Europe a explosé. Ce qui a commencé comme un filet de l'immigration, tout à coup transformé en une puissante vague humaine prête à balayer un lieu chaleureux, l'Europe propre. Les deux itinéraires précédents: via Gibraltar à l'Espagne et la Méditerranée à l'italienne de Lampedusa - Ajout de la nouvelle, pratique et sécuritaire, la route des Balkans. Tout d'abord, l'Izmir turque aux îles grecques (la première victime était la célèbre île de Lesbos. Les Grecs m'a dit que les Turcs dans toutes les manières possibles pour aider les immigrants. Il est dit que la Turquie parraine délibérément réfugiés et littéralement les pousse dans les eaux internationales.) Puis Athènes, la Macédoine, la Serbie, la Hongrie , puis l'écoulement est divisé en deux parties - l'Autriche et l'Allemagne et la République tchèque ou la Slovaquie. Même en Angleterre, avec un sentiment de supériorité de bombarder la Libye malheureux, tout à coup découvert que le statut de l'île ne pas la sauver de l'invasion. Le tunnel sous la Manche chaque tempête jour aigri réfugiés. Et en Allemagne, les autorités ont dû recourir à l'armée, qui a fourni des tentes pour les immigrants et la protection contre les habitants en colère.

De Janvier à Juillet, uniquement sur la route des Balkans il a fallu une centaine de milliers de personnes. Les sondeurs prédisent que d'ici la fin de l'année aura 250 milliers. Et l'année prochaine promet de catastrophe.

Plusieurs fois, je ont travaillé dans les "points chauds" et dans sa vie vu un grand nombre de réfugiés. Weeping vêtements et pantoufles à domicile femmes sur ses pieds nus, en haillons sales des enfants, des hommes au visage de pierre, en colère par leur propre impuissance. Ils étaient heureux de bouteille d'eau, un morceau de pain, une petite aide financière. Ces réfugiés m'a impressionné avec son bien-être extérieur et la capacité de mettre en place rapidement leurs propres règles.
Park à Belgrade, près de la station de bus. Il semble que le coup d'oeil maintenant parcs dans de nombreuses villes européennes. Hommes fontaines lavables, des familles entières de dormir sur l'herbe. Dès que je reçois au parc, je fus jeté en travers du chemin d'un groupe de gars. "Vous ne pouvez pas tirer ici», - dit l'un d'entre eux à un anglais correct, pointant vers mon appareil photo. "Voilà comment?! - Je exclamer et repose ses mains sur ses hanches. - Le parc - un lieu public, et je suis un journaliste et faire mon travail ". «Ici, nos femmes!» «Alors quoi? Vos femmes portent le hijab et couverts de la tête aux pieds. Si ils ne veulent pas l'ordre local, ils peuvent revenir. Vous savez que Belgrade - la capitale de l'État chrétien orthodoxe? Et les femmes y vont avec des visages ouverts? Combien d'heures vous êtes à Belgrade "" Trois jours, "-? Il répond mon adversaire désorienté. "Et il fixe ses propres règles? Cela ne veut pas votre terre. "Ici,nous avons tous deux réduire le tonus et de conclure une trêve. Mon nouvel ami nommé Khalid, il est de Damas, il avait 21 ans. "Je suis actuellement un Syrien - dit-il fièrement.- Pas toutes ces ... "Il est des gestes méprisants aux personnes qui occupaient la zone."Et pourquoi est-ce important?" - Je fus surpris. "Et voilà mentir, qu'ils étaient de la Syrie.Juste par la Syrie - il est maintenant à la mode. Dans tous les journaux. Personne est intéressé par les réfugiés d'Irak, l'Afghanistan, la Libye et la Tunisie. Ici, même les Afghans ont commencé à se appeler Syriens ".

Daria Aslamova immigrés. Ces jeunes Syriens rêve de se rendre à l'Allemagne, parce que ce où "tout gratuit"
Khalid et ses compagnons ont fui la Syrie qu'ils ne sont pas rédigées dans l'armée. "Pourquoi devrais-je lutter pour Assad? Je préfère laisser à l'Allemagne "."Pourquoi ne pas demander l'asile en Grèce, la Macédoine, ou tout au moins ici en Serbie?» «Voilà tous les pays pauvres - rides son nez dédaigneusement Khalid. - Je ne sais même pas ce que l'Europe - si pauvre. Nous en Syrie avant la guerre, on a vécu beaucoup plus riche. Seulement dans la manière à Belgrade, je payais des transporteurs et des conducteurs 3000 dollars. Et à l'Allemagne - ont encore à débourser quinze cents. Je dois de l'argent. Je peux payer pour un hôtel cinq étoiles à Belgrade, mais je suis pas autorisé là-bas, parce que les autorités locales nous donnent seulement 72 heures pour rester dans le pays. Et mon inscription a pris fin aujourd'hui. Même ici, dans le parc, je paie pour une douche et un WC. Mais en Allemagne, tout sera gratuit: l'éducation, les avantages, le logement pour les immigrants. Il est bon! Je veux aller à la Faculté d'Economie. Dès vous installer, déplacé à ma famille: deux frères, père, mère, grand-mère et ses trois sœurs ".

Les femmes réfugiées à Belgrade
Cinq jolies jeunes femmes voilées étaient assis sur un banc à l'ombre d'un arbre touffu gardée par deux hommes sauvages. "Salam alaikoum" - je me réjouis."Hallow" - ils répondent à l'unisson. L'un d'eux est nommé Aisha assume le rôle d'interprète. Avec des difficultés à capter les mots anglais, elle explique qu'ils Syriens d'Alep et aller toute la famille en Allemagne. D'une certaine façon, ils sont déjà une dizaine de jours. En Allemagne, ils ont pas un, mais ils ont entendu qu'ils acceptent tous les réfugiés. L'argent qu'ils ont. Voyager toute la famille coûterait une somme rondelette: plus de 20 mille dollars. Les diabétiques de leur mère, mais ils croient que les Allemands sont obligés de la traiter gratuitement. Marié Betula me montre sa jambe blessée. "Il est l'avant-dernière nuit, nous avons traversé la frontière macédonienne à travers les bois - elle explique. - Vous êtes beau, parce que vous avez la peau blanche.Mais je étais belle, jusqu'à ce que le soleil a brûlé. Tiens, regarde. " Betul roule ses chandails à manches et montre la frontière entre la peau blanche et bronzé. «Je vais vivre en Europe redevenu blanc. Dans le nord, à moins que le soleil ".
Réfugiés de Belgrade n'a pas aimé les réfugiés syriens, que je l'ai vu au Liban. Il est une personnalité tragique, les gens qui ont tout perdu et qui meurent lentement sous le soleil brutal dans des camps surpeuplés, à qui personne ne se soucie. Ceux qui ont fait à l'Europe - l'élite. Avec de l'argent et avec son super-tâche.

Comment devenir un réfugié

Tôt dans la matinée de la forêt près de la ville hongroise de Ashothalom aller tout droit sur le groupe de la route des hommes basanés avec sacs à dos sur les épaules. Tout ce qu'ils franchi illégalement la frontière la nuit dernière, et maintenant ils ont rien à craindre. Ils sont bien guidés par GPS dans leurs téléphones. Leur tâche principale - pour répondre à la première de la police et de lui montrer un signe en anglais «asile» (abri) si il n'y a personne dans le groupe en quelque sorte parler en anglais. La langue officielle est appelé "une expression de l'intention de l'asile."

A partir de ce moment, ils ont le droit de séjour de 72 heures dans le pays. Non seulement. Sur les lits dans le centre de réfugiés, sans repas, vêtements et chaussures de seconde main et de billets gratuits sur les trains à travers le pays.

Zoltan, grand type gonflé dans le camouflage me amène à l'un des sites de réfugiés.Zoltan appartient à un groupe de volontaires hongrois nationalistes (ou patriotiques) personnalisés surveillance de la frontière et de la force d'essayer d'empêcher l'infiltration de réfugiés. Mais il - pas la police, et en fait, il n'a aucun pouvoir. Mais malades ont ces réfugiés qui tombent dans les mains de son organisation. Au mieux, ils le coup renvoyés à travers la frontière.
La forêt près de la frontière hongroise. Les réfugiés sont sous surveillance policière.
Dans une clairière dans la forêt sous la protection de la police confortablement réfugiés de différents pays.L'un d'eux, un jeune Afghan Ammanula, me dit qu'il est de deux mois et demi à pied pour se rendre de Kunduz à travers l'Iran et la Turquie, avec ses compagnons, dans l'espoir de régler en Allemagne. Il me montre une forte callosités sur ses pieds. Proximité d'un groupe de jeunes Syriens qui semble complètement européenne. Blondes aux yeux clairs, parle couramment l'anglais. Avec eux, rousse rebelle impertinent jeune femme, fumer une cigarette après l'autre. Elle et ses camarades-syrien sunnite, mais courageusement gardés femmes en hijab. Tout d'entre eux vont se rendre à la Suède. Rousses préoccupé par le fait que tous ont été empreintes digitales. "Je l'ai entendu dire que nous pouvons rebondir en Hongrie, même si nous arrivons à la Suède. Ce nouvel accord entre les pays de l'espace Schengen. Où prenez-vous des empreintes digitales à l'entrée, il vous devez rester. " (Elle a absolument raison, mais je lui ai rassuré que cet accord existe seulement sur ​​papier).

L'obscurité de la Idlib sunnite nommé Jamil avec deux enfants me demandaient, quand tout d'eux aura un bus et a pris à l'endroit de repos. Il est extrêmement indigné de ce «manque d'organisation». Difficile de croire que cet homme la nuit dernière franchi illégalement la frontière. Il se comporte comme un passager sur un arrêt de bus, agacé que le bus pour une raison quelconque ne vont pas comme prévu. Il exige que je parlais avec la police. Ceux fatigué de la terrible flux de réfugiés: «Nous avons pas assez de transports pour les transporter tous à Szeged, à la station de chemin de fer. Dans la matinée, nous sommes allés six autobus pleins. Nous attendons qu'ils reviennent pour ramasser le reste ".

Vous êtes les bienvenus

Thé et halal chorba (soupe de viande) pour les immigrants de la charité
La ville hongroise de Szeged. Gare. Maison en bois où tout est prêt pour l'accueil des réfugiés bénévoles de l'organisme de bienfaisance. Eau, des fruits, des sandwichs et «chorba halal" (soupe de viande).«Pourquoi est halal? - Je demande une femme épaisse, laid, mais de bonne humeur qui lave le trottoir en face de la maison. - Ne pas avoir à s'y habituer les réfugiés à la vie en Europe "" Bien sûr que non! - Outré il. - Il pourrait offenser leurs sentiments religieux. Ils sont très vulnérables. " Soigneusement, je découvre que mon compagnon est pas marié, comme la plupart "volontersh" mais il attire joie et l'inspiration de «servir les pauvres."
Les instructions détaillées pour les réfugiés à la station de chemin de fer à Szeged, en Hongrie.
Pour les réfugiés préparés toilettes, douches, les fans de l'eau pour se rafraîchir, une connexion Internet gratuite et des instructions détaillées sur la façon de se comporter avec les autorités. Tous polie à un éclat, sur un plateau garni de pommes, bénévoles visage de brillance de la prochaine réunion avec la joie de "victimes". Qu'est-ce qui se passe ensuite, il me choque profondément. A la station arrêté plusieurs bus bourrés de jeunes hommes. Sortir dans la rue, ils commencent immédiatement à parler au téléphone et se connecter à des gadgets de fantaisie Internet. Mine de rien, sans faire attention à l'agitation, rincé "volontersh", ils prennent des bouteilles d'eau, des sandwiches, des bols de soupe. Ils ne disent même pas «merci»!

Fille bénévoles distribuant des bouteilles d'eau aux réfugiés
"Crazy vieille femme - dit Dzhunet du Pakistan. - Pourquoi sont leurs enfants ou petits enfants ne les regarde pas? Pourquoi les lâcher dans la rue? Partout, où que nous venions, nous rencontrons ces fous. " Je étouffement de colère, et cria: "Ils le font par générosité! Pour vous aider! "Dzhunet un peu confus."Oui, je ne nie pas qu'ils sont bons. Mais où sont leurs maris? Et ce sont les femmes âgées ainsi flâner dans les rues le soir et discuter avec les jeunes hommes?Nous sommes allés à travers l'ensemble de l'Europe, et les gens sont étranges. Nous avons vu même les jeunes femmes qui nous ont remis des sandwiches. Ils dépouillé et presque tous d'entre eux ont au moins vingt. Cette ancienne mariage Pakistan est plus prise.Mais pourquoi êtes-vous seul? Où est votre mari? »«Deux étapes loin de vous - je dis vengeance. - Il photographie. "La petite Dzhunet imposer chiffre regarde autour de mon mari, journaliste croate, et change immédiatement le ton." Cela est vrai - il approuve. - Les femmes ne sont pas laissés seuls ". Mais alors, effrayé, "Permettez-moi de ne pas prendre de photos seulement. Je défends. Je dois donc de nombreuses frontières pour se déplacer. Je veux aller à Londres, parce qu'il ya beaucoup de Pakistanais. Quand je reçois à l'Angleterre et l'appelle pour lui deux de ses sœurs, je ne sont pas autorisés non accompagnés sortir. Voilà pour les plus jeunes (s quatorze ans) en Angleterre ont trouvé un mari convenable. Qu'elle aille seconde épouse, mais pour un homme respectable ". "Mais personne en Angleterre n'a pas enregistré le mariage!" - M'a outragée. "Et vous ne devriez pas. Pour nous, la principale chose - il est une bénédiction d'Allah dans une mosquée. Et puis elle est rentable. Une fois que les enfants vont à l'anglais, il sera considéré comme une mère célibataire mineure. Vous avez aucune idée de combien il va payer de l'argent! Et la médecine, les transports, la nourriture, l'éducation - le tout gratuitement. Anglais - nos anciens colonisateurs. Ils ont payé pour tout. Inchallah! "






"Super," le mur hongrois

Frontière serbo-hongroise. Je suis debout devant une imposante hauteur de la clôture de quatre mètres, ce qui devrait s'étirer pour 175 kilomètres. Il est déjà devenu un célèbre mur hongrois conçu pour protéger la Hongrie de l'invasion des immigrants. Bien qu'il ne soit pas encore terminée, et les réfugiés traversent la frontière chaque nuit.
Le «grand» de la paroi hongrois que la Hongrie est construit pour se protéger contre les assauts des immigrants
"Un sentiment étrange - dit Veronica, un employé du bureau du maire dans une petite ville Ashothalom. - Je ne pensais pas que mon pays va vivre derrière des barbelés. Je ne savais pas de quel côté de la prison. "

Mur empêtré fil OTAN comme "Razor", 
qui peut facilement couper la peau.

"Toutes les grandes organisations non gouvernementales ont protesté," - dit Veronica."Oui, il peut y avoir une victime," - Je suis d'accord, en imaginant la lutte et saigne dans la nuit robustes réfugiés acier grip. "Vous voyez, parce que les animaux sauvages pauvres peuvent souffrir», - explique Veronica, et je fus surpris de trouver en elle visage calme, soupçonnant ironie. Mais non, aucune ironie. "Sangliers et cerfs locaux naparyvalis déjà sur le mur - dit-elle avec inquiétude. - Peut être coupé après tout. ""Oui, ils le peuvent. Eh bien, les gens trouvent toujours un moyen de sortir, - je dis. - Assurez sucs ou découper le trou ".

"Assez pour acheter un bon couteau suisse dans le magasin - dit un membre du Parlement hongrois du parti« Jobbik »Marton Gyongyos. - Mur - ne sont pas un obstacle.Si l'immigrant était des milliers de kilomètres pour se rendre à l'Europe, car il est pas un problème pour contourner le mur ou acheter un couteau. Peut-être pas immédiatement, mais les immigrants devront trouver une solution. Ils sont partout à Budapest. Dans les parcs publics, ils dorment sur l'herbe. Nous ne savons pas ce qu'ils sont malades, ce virus qu'ils apportent avec eux. Il est un vrai désastre! Il ya deux ans, le nombre de demandes d'asile ne devrait pas dépasser deux mille. Et cette année, à la fin de Juillet, nous avons cent mille applications! Nous ne disposons pas de l'infrastructure pour faire face à l'afflux de personnes! L'UE ne veut pas parler des vrais problèmes. Les bureaucrates de Bruxelles, répètent que sur les causes économiques et sociales de la nouvelle migration des peuples. Mais si nous voulons voir la racine du problème, nous devons comprendre que la raison principale - la politique étrangère de l'Occident.Intervention en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, déstabilisation des pays comme l'Irak, la Syrie, l'Afghanistan, la Tunisie, le Liban, l'Egypte, la Libye. Et cela est juste le début. Nous ne savons toujours pas combien de migrants nous viennent de l'Ukraine, si cela va se produire l'effondrement et l'effondrement économique (et il est seulement une question de temps). L'Europe parle toujours de la politique multiculturelle de la tolérance, les droits des réfugiés. Mais l'UE comme un patient qui ne savait pas ce qu'il était malade.
Pour la Hongrie tout mal. Hongrois ont jamais eu un passé colonial. Que la France et l'Angleterre payés pour leurs crimes. Ils ont colonisé les pays de l'Est, et maintenant leurs anciens esclaves retournés et exiger une compensation. Mais on n'a rien à se reprocher. "" Etes-vous sûr que vous avez rien à avoir honte? Écoutez l'histoire du Dr Ahmad de la Libye ".

Hongroises agents des douanes à la frontière qui cherchent asile dans les voitures

"Innocent, non!"

Avec le Dr Ahmad (comme il se faisait appeler) je rencontrai dans le serbe Kanjiža ville frontalière dans le café "de Venise." Je me suis immédiatement attiré l'attention sur ce fils de l'Afrique avec le visage foncé brillant et épais, les lèvres saillantes. Masque dieu africain. Il buvait lentement le café et fumé une cigarette, et je regarda ses mains, grands, beaux, avec une telle précision, épargnant mouvements. Les mains du chirurgien. Et je suppose. Je me suis présenté, et nous frappé une conversation. Nous avons parlé de "mode" et les guerres "démodés", que tous les réfugiés sont assurés autorités locales qu'ils étaient de la Syrie.

Guerre "Trendy"! - Dr. Ahmad rire sarcastique. - Eh bien, vous avez raison.L'Europe ne veut pas entendre parler de réfugiés en provenance d'Irak et de l'Afghanistan. Ils sont prêts à brancher ses oreilles avec de la laine de coton!Mais même insultant ils répondent aux réfugiés en provenance de Libye. Après tout, la France et la Grande-Bretagne ont bombardé mon pays. Maintenant, ils se détournent de nous!

Comme, nous avons également vous a apporté la démocratie, et on ne pouvait pas profiter des fruits de la liberté! Ceci est pour vous, les Libyens, devriez avoir honte de ce que vous avez trompé nos attentes. Je dois avouer que moi aussi, je suis un imbécile. Il était l'euphorie lorsque le renversé Kadhafi. Mon fils était un garçon enthousiaste et admirait la révolution, mais il est mort. "Le visage du Dr Ahmad est resté calme quand il parle de son fils. Le fatalisme musulman résident de l'Est et de retenue. "Je ai deux filles.Nous avons fui vers l'Egypte presque aussitôt que le chaos a commencé, laissant la tombe de son fils. Je suis un médecin, mais ne pouvais pas trouver un emploi à mon niveau en Egypte. Partout a son propre concours. Outsiders ne aiment pas. Je ne veux pas de raconter l'histoire à vous ennuyer mes pérégrinations. En Europe, je l'espère pour confirmer mon diplôme. Je dois bien l'anglais. Peut-être que je vais avoir de la chance. ""Mais les gens du pays dans une panique de l'invasion! - Je dis. - Grecs, Serbes, des Hongrois, des Slovaques, des Tchèques affirment qu'ils ne le méritent pas! Il est pas leur faute que l'ensemble de l'Afrique du Nord Moyen-Orient et la noyade dans le sang. ""Voici comment! - Exclame Dr Ahmad et les blancs jaunâtres de ses yeux injectés de sang énorme d'Afrique. - Je dois rien à redire aux Serbes. TOUT. Toutefois, la Grèce, Hongrie, Slovaquie, Croatie - membres de l'OTAN. Oui, ils ne bombardent mon pays, mais ils ne paient pas l'argent pour le budget militaire de l'OTAN? Ne pas envoyer ses soldats en Afghanistan et en Irak? Ils ne vont pas échapper à la punition. L'OTAN a rempli de sang tout le Moyen-Orient, en Europe et maintenant faible, il a donné pouvoir sur Satan Amérique sera détruite. Nos femmes donnent naissance à des enfants. Cinq ans plus tard, le visage de l'Europe va changer complètement. Je ne me réjouis pas dans ce. Je respecte une grande culture européenne et ne veux pas la place des églises, il y avait minarets. Mais il le fera. Cette rétribution. Inchallah! "









"Le blâme devra partager tous"

"Mais il a raison, votre médecin! - Tout à coup, il a hurlé Marton Gyongyos, un membre du Parlement hongrois du parti «Jobbik» quand je lui ai raconté l'histoire du Dr Ahmad. - Hongrie - un membre de l'UE et de l'OTAN. Et quand l'organisation mène une politique agressive pour détruire la Syrie, la Tunisie, la Libye, l'Irak, nous ne devons pas rester silencieux.

Nous devrions dire à nos alliés: «Regardez! Ceci est contre les intérêts de l'Europe et contre les intérêts de notre pays "Oui, nous ne prenions pas part au bombardement de l'Irak et la Syrie, mais notre silence - 
il est de notre faute.

Je crois toujours que nous avons fait une énorme erreur en rejoignant l'OTAN. Sur le papier, nous avons conclu une alliance défensive. Dans la pratique, la Hongrie - un membre d'une organisation offensive agressive, qui est en train de détruire le Moyen-Orient et en Russie suscite la situation en Ukraine. Les dirigeants européens - soit des imbéciles ou des traîtres. Bien que, lorsque les matériaux WikiLeaks savent que même Merkel est sous surveillance constante par les services de renseignement américains, vous comprenez: la plupart des dirigeants de l'Union européenne peut faire l'objet de chantage ".
Živadin Jovanovic
Živadin Jovanovic, ancien ministre des Affaires étrangères de la Serbie appartient à ceux qui voient clairement le lien entre le passé et le présent. "La nouvelle vague destructrice de la migration - les conséquences de la politique impérialiste de l'Occident, - at-il dit. - Tout a commencé en Serbie, après la destruction de la Yougoslavie et de bombardements de l'OTAN de la Serbie. Ici était la première étape vers une attaque sur la Somalie, le Soudan, Afghanistan et en Irak sous le prétexte du terrorisme de combat ou des droits humains. . L'Amérique a toujours poursuivi une politique de chaos, ce qui lui donne le contrôle mains sur les ressources naturelles, les lignes stratégiques de communication et de trafic de personnes, de drogues, d'armes Les conséquences tombent sur ​​l'Europe, mais l'Union européenne - est non pas tant un allié des Etats-Unis comme un rival. Voilà pourquoi l'Amérique a forcé l'UE à participer à toutes les opérations militaires, parrainé par les Etats-Unis depuis la guerre contre la Yougoslavie. En fait, les Européens se battent contre eux-mêmes. L'attaque sur la Libye était la barbarie, dont le symbole était un assassiner brutale monstrueusement de Kadhafi. Maintenant, nous avons un immense territoire avec le banditisme incontrôlée.La guerre en Libye a exposé la face de l'Occident - égoïste et néocoloniale. Nous avons vu France souffre d'un complexe d'infériorité, à long perdu de son prestige, et Sarkozy, le meneur de Napoléon. Nous avons vu la Grande-Bretagne, qui a une énorme expérience coloniale historique, mais il manque de la puissance militaire. Telle est la Colombie agissent souvent comme instigateurs de conflit, en essayant de combiner les ambitions de l'ancien empire au pouvoir et de l'autorité américaine. Et maintenant, la Colombie, le français et a crié à l'unisson, vous besoin de quelque chose à voir avec les immigrants. Mais nous avons affaire à un effet boomerang classique. Oui, une bombe a explosé dans l'immigration, mais la cause de l'explosion est plus compliqué qu'il n'y paraît à première vue. Pour nous allions jeune, les hommes avec de l'argent instruite.Tout le coiffeur à la mode à Belgrade, emballé avec les gens du Moyen-Orient. Les nettoyeurs à sec coûteux, ils donnent des choses sacs intacts. Il est clair que quelqu'un les aide financièrement.





Les policiers ont reconnu qu'il ya des extrémistes chez les immigrants. Tout ce que peut faire la police - est de prendre leurs empreintes digitales. Avant de nous est le soi-disant «terroristes dormantes". Lorsque cela est nécessaire, ils "se réveillent" et l'Europe seront déborder une vague de terreur. "


Panique dans les Balkans!

Les migrants sont frontière de la Grèce à la Macédoine
Macédoine. Le pays a déclaré une situation d'urgence.Le chaos à la frontière gréco-macédonienne. La police a bloqué toutes les transitions et installe des barbelés.Les réfugiés ont pris d'assaut. La police a dû utiliser des gaz lacrymogènes et appeler à l'aide de l'armée.Les réfugiés se trouvent sur ​​les rails, à cause de qui a interrompu le trafic ferroviaire entre la Grèce et la Macédoine. Dans la zone neutre a accumulé des milliers de personnes. Macédoniens accusent la police grecque qu'elle est inactive, et essaie de pousser les étrangers de la Grèce.
Migrants de repos de l'Irak dans la rue. Presevo, en Serbie
Serbie. Le gouvernement estime que la crise humanitaire. Les réfugiés ont environ 80 mille, et les lieux de l'immigration ne durer que quelques milliers.Bien que les réfugiés ne veulent pas rester en Serbie (il ya un truc connu - d'annoncer l'intention de demander l'asile, mais ne pas écrire une déclaration officielle), mais des contrôles plus stricts à la frontière hongroise les met dans une situation impossible. Elle est morte premier Serbe, ramassa la fièvre du Nil occidental.
Groupe de travailleurs de différents pays repose sur le côté de la route après avoir traversé la frontière de la Serbie
Croatie. Immergé dans les tracas touristique estivale, la Croatie se réveilla soudain paniqué et de découvrir que les réfugiés en essayant de traverser la frontière serbo-croate. Cela est logique: sur la frontière de la Croatie et de la Slovénie (espace Schengen) sont situés forêts profondes, à travers lequel les Roms ont été prises avant les Chinois. Et pour les riches commence la Slovénie, l'Autriche et les frontières entre eux. En Croatie, il y avait beaucoup des «idiots utiles» de l'environnement néo-libéral qui appellent pour que les citoyens ouvrent leur cœur et les portes d'immigrants du Moyen-Orient. La liste journal Jutarnji néo-libérale a déjà offert un lieu pour accueillir les réfugiés dans la belle Croatie - dans vides caserne militaire à Pula, Varazdin, Karlovac, en Dalmatie. Et même dans un palais abandonné Esterhazy, non loin de la charmante Ilok.
Mais le petit, fermé sur lui-même la Croatie a récemment connu un choc - au Caire il ya un mois, les terroristes de l'IG (Etat islamique) enlevé un citoyen de Croatie, et de lui couper la tête. La photo a été publiée sur Internet, dont 30 ans père de deux enfants tenant sa tête dans ses mains. On peut comprendre que la prétendue invasion d'étrangers mis en locaux d'hystériques. Récemment apparu sur l'affiche de l'Internet: "Chers immigrés! Bienvenue en Croatie! Pas de travail, pas d'argent, pas d'avenir. S'il vous plaît conduire à travers la Slovénie. Je vous remercie. "
Une bande dessinée sur Internet croate
Branislav Djordjevic
«Oubliez l'Europe, vous savez quand quelque chose - dit amèrement le directeur de l'Institut serbe de politique internationale et professeur d'économie Branislav Djordjevic. - Pinces squeeze musulmanes européennes géopolitiques de l'Espagne, l'Italie et les Balkans. Même à Bucarest, où il n'y a pratiquement pas de musulmans au détriment de la Turquie a construit la plus grande mosquée d'Europe.Récemment, les Balkans visité Victoria Nuland, qui a dit dans une interview, afin de vaincre l'Etat islamique, les Etats-Unis, il faudra de 5 à 10 ans. Je suis un ancien militaire. Pour détruire l'IG, n'a pas besoin du temps et de la détermination. Vous demandez qui profitent du chaos au Moyen-Orient? Il suffit de compter le nombre de personnes dans le travail des États-Unis dans le complexe militaro-industriel.Directement ou indirectement. Comptez leurs familles.Et combien d'électeurs les soutenir? Pour développer l'industrie militaire, vous devez passer une arme prête. Et vous avez à essayer de nouvelles choses. Vous ne pouvez pas simplement produire. Ceci est la plus grande industrie dans le monde. Plus que le pétrole et le gaz. Et une autre question: Est-ce que l'Amérique a besoin d'une Europe forte "" Bien sûr que non, - je dis. - Donc de toute façon: qui est le coupable "La chose la plus triste dans la profession de journaliste, en demandant à la question, vous connaissez déjà la réponse, et vous savez pourquoi l'autre personne ne peut pas répondre directement. Dr Branislav Djordjevic, directeur de l'institut, qui vient régulièrement après l'Union européenne, les commentaires prudents. "Pour nous tous regarder Big Brother. Connaissez-vous son nom. Pourquoi demandez-vous? "


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Auteur: Daria Aslamova 
Photo: Daria Aslamova, REUTERS 
vidéo: Daria Aslamova 
Conception: Nail Valiulin