Corsica Libera a pris connaissance de l’intervention de la région PACA dans la procédure relative à la SNCM. Ce nouvel épisode dans le dossier confirme si besoin était que la seule position raisonnable est la création d’une compagnie publique corse sous la forme d’une Société Publique Locale, ce que nous n’avons cessé de répéter, en vain, à l’Assemblée de Corse et au sein de la commission « compagnie régionale » qui a été purement et simplement sabotée par ceux qui étaient en charge de son animation.
En effet, la situation qui se dessine à présent est absolument catastrophique. Les transports maritimes de la Corse ont été mis à mal pendant des décennies, par les forces politiques et syndicales de cette région PACA qui prétend dorénavant exercer sa mainmise de façon tout à fait officielle à travers ses institutions politiques. Les Corses, qui ont eu si longtemps à souffrir du système SNCM-CGT Bouches-du-Rhône-communauté portuaire de Marseille, ne sauraient accepter cette perspective.
Le groupe Corsica Libera demande au Conseil exécutif d’intervenir à son tour auprès du tribunal de Commerce pour préserver les intérêts corses dont il a la charge, en s’opposant à un montage effectué sous l’égide de PACA et en se positionnant clairement en faveur d’une solution publique corse.
Précurseur en matière constitutionnelle, champion de la liberté reconnu au siècle des lumières par Rousseau, exemple des futurs révolutionnaires américains, modèle du jeune Bonaparte, référence du Général Washington...l'Histoire ne reconnaît pourtant aujourd'hui que le rang de personnage historique régional à Pascal Paoli.
Aujourd'hui aucun livre de droit constitutionnel ne fait mention du fait que Paoli écrivit dès 1755 une Constitution écrite proclamant la souveraineté du Peuple, établissant une séparation du Pouvoir entre le législatif et l'exécutif. Ces avancées furent saluées par les esprits brillants de l'époque comme Jean Jacques Rousseau et par les souverains éclairés tels que Catherine II.
La première pierre des démocraties modernes fut posée en Corse en 1755, les faits historiques sont incontestables.
Plus tard, les révolutionnaires français, recevant Paoli à l'Assemblée Constituante lors de son retour d'exil londonien, salueront cette expérience politique. Pasquale Paoli doit trouver la place qu'il mérite dans les livres d'Histoire, place aussi importante que celle de Jefferson, Benjamin Franklin, La Fayette, et tant d'autres champions de la liberté qui d'ailleurs croisières sur leur chemin ce général corse. Pasquale Paoli n'appartient pas qu'à l'histoire du peuple corse, il appartient aussi à l'Histoire universelle de la Liberté.
Paoli ce n'est pas que cela. Il réussit l'exploit de transformer une nation sans Etat, non seulement par la Constitution, mais aussi par l'Université, la monnaie, ainsi qu' une presse nationale. Le vide est immense. L'oubli volontaire dont est victime Paoli par les historiens internationaux est regrettable, sans doute le problème politique de la Corse empêche-t-il une étude de la période.
Paoli fut aussi bien l'adversaire de de la France (1768-1769)
S'il demeure si populaire aux yeux des corses malgré toutes ces années, c'est qu'il fut un homme d'Etat ayant fait passé le bien de sa Patrie et de son peuple avant son bien personnel. Ceci fut bien décrit par l'écrivain James Boswell lors de son retour de Corse en 1765.
En 1945, à la fin de la guerre, les corses qui avaient été mobilisé (en effet, la Corse libérée en 1943 sera la seule "région de France" où on mobilisera des hommes pour le front) retrouvent une terre abandonnée, appauvrie et sans structures de développement économique. Des voix s'élèvent ici et là pour réclamer un redressement de l'île mais l'unique plan que propose la France est le même que celui de l'entre-deux guerres, c'est à dire des carrières dans l'armée et dans la fonction publique aux colonies. Des milliers de Corses à la recherche d'un emploi s'exilent pour échapper à la misère. 55 000 corses entre 1954 et 1977. Beaucoup de ceux qui ont choisi la voie militaire laisseront leur vie dans les conflits d'Indochine et d'Algérie. De 1957 à 1960 la Corse verra la création des premiers groupes revendicatifs dont les programmes étaient purement économiques ou écologiques, notamment suite à la fermeture que projetait alors la SNCF de l'unique chemin de fer de l'île, considéré comme obsolète et non rentable. Sous la pression de la mobilisation popualiret le chemin de fer fut maintenu. En 1960 la France, sur le point de perdre l'Algérie et ses sites à ciel ouvert d'essais atomiques pousse encore un plus loin son mépris pour le peuple corse en tentant la création d'un centre d'expérimentations nucléaires à lArgentella, près de Calvi, mais après une très importante mobilisation populaire elle doit renoncer à son funeste projet. Ce projet devait certainement avoir un coût énorme, en revanche la France refusait de donner des moyens aux corses qui continuent de réclamer un développement économique pour leur île. La France crée la Société de Mise en Valeur de la Corse (Somivac). Elle avait à charge de racheter des terres disponibles, en déshérence ou non, de les remembrer, d'y tracer voies et chemins, d'y amener l'irrigation dans certains cas, puis de les revendre à des paysans corses. Les 400 premiers lots furent prêts à la vente au tout début 1962. Mais de Paris vint l'ordre d'en réserver 75 % pour les 20 000 pieds-noirs ("Ce pourcentage est une incitation à la guerre civile", dira plus -tard Michel Rocard, dans le journal "Le Monde" du 31 août 2000) rapatriés d'Algérie. Tandis que les jeunes agriculteurs corses eux se voient refuser tout crédit bancaire. Contre cette nouvelle injustice les corses se rebelleront et les premiers attentats secoueront l'île. Au début des années 1960, une partie de la diaspora corse composée surtout détudiants, se regroupa à Paris autour de IUNEC et de lUnion Corse. Ils constituèrent un courant nettement plus politisé et qui se voulait socialiste. "Rendez-nous nos terres", crient les jeunes Corses du Fiumorbu en occupant la mairie de Ghisonaccia en 1969.
Quatre noms incontournables de la chanson Corse se sont réunis : Petru Guelfucci, Maì Pesce, Jean Charles Papi et Christophe Mondoloni, pour vous offrir un spectacle hors norme.
Rassemblés, ils forment l'ensemble 4 VOCI. Les quatre chanteurs revisitent les grands classiques du répertoire corse en solo, en duo ou en choeur, sans oublier un lot de surprises qui fera notre grand plaisir. Entourés de musiciens de talent (Raphaël Pierre, Ceccè Pesce...), ils ont fait vibrer le Spaziu Natale Luciani.
Une soirée exceptionnelle à revoir, placée sous le signe du partage, du bel canto et de l'émotion.
Concert enregistré le 29 janvier 2014 au Spaziu culturale Natale Luciani (Université de Corse). Réalisation : Nicolas Fresi.
" Aléria 1975 " by Midò Muziotti (Gruppu Abbadà) Musica di Midò Muziotti & Petru Cerutti Parole di Petru Cerutti
Discorsu aostu 1975, di u duttore Edimondu Simeoni e di "Radio RTL" Voce di u zitellu: Ghjuvan Dumenicu Scarbonchi
Gruppu Abbadà: Midò Muziotti & Petru Cerutti http://abbada.free.fr/ --------------------------------------------------------------------------- Extrait du mail envoyé aux forces culturelles et notamment tous les groupes Corses par le Dre Edimondu Simeoni.
Cari amichi, Afin de ne pas les laisser sombrer dans l'oubli, l'association « Aleria 1975 » a décidé de rappeler le 39 ème anniversaire des événements tragiques du 22 Août 1975. Le 22 Août 2014, sera organisée sur place une manifestation qui commencera à 18 heures avec l'inauguration d'une stèle de la mémoire ; la sobriété sera de mise. Il ne s'agira pas d'exalter les affrontements mais au contraire d'appeler, dans le respect dû aux victimes, à l'impérieuse nécessité du dialogue démocratique qui, pour avoir été refusé par l'Etat, a conduit au drame. La persistance de cette attitude négative a générée des décennies d'affrontements graves et inutiles. Dont notre peuple a gravement souffert. A 19 heures, toujours à Aléria mais au Fort cette fois-ci, un grand rassemblement populaire aura lieu sous le thème « le peuple corse, la terre, la culture, la liberté, la démocratie» Nous souhaiterions créer un grand élan de fraternité, d'échanges, de dialogue et aimerions placer la langue et la culture au centre de la rencontre. C'est la raison pour laquelle, nous invitons toutes les forces culturelles et notamment tous les groupes à participer à cette manifestation qui rappellera la contribution essentielle du Riacquistu dans les progrès de l'émancipation de la Corse et la force potentielle majeure de ce secteur ; l'objectif n'est pas de donner un concert mais au contraire de réaliser une manifestation festive, avec une animation culturelle, ... ... ... Fratellanza Edimondu Simeoni Présidente di « Aleria 1975 »
Je t'envie petit moineau Toi qui viens quelques fois pour me rendre visite Perché sur l'un des barreaux De cette minuscule lucarne à l'air si triste
Mais lorsque tu ne viens pas J'y vois un coin de ciel, qu'on m'accorde en faveur Et je t'attends chaque fois A croire que maintenant, tu sais lorsque c'est l'heure
Sò imprigiunattu E Mama si nè more Perduna, mio Mama Di fà ti tantu male
Je ne peux pas faire un geste Pour aller l'embrasser une dernière fois Que m'importe à moi le reste Car si elle se meurt, c'est à cause de moi
Elle qui ne s'endormait jamais Sans avoir imploré la Madone, les Saints Elle qui avait tout donné Pour qu'on dise plus tard, c'est un monsieur très bien
UNESCO Culture Sector - Intangible Heritage - 2003 Convention :The paghjella is a male Corsican singing tradition. It combines three vocal registers that always enter the song in the same order: a segonda, which begins, give the pitch and carries the main melody; u bassu, which follows, accompanies and supports it, and finally a terza, the highest placed, which enriches the song. Paghjella makes substantial use of echo and is sung a capella in a variety of languages including Corsican, Sardinian, Latin and Greek. As both a secular and liturgical oral tradition, it is performed on festive, social and religious occasions: in the bar or village square, as part of liturgical masses and processions and during agricultural fairs. The principle mode of transmission is oral, largely through observation and listening, imitation and immersion, commencing first as part of young boys’ daily liturgical offices and then later at adolescence through the local Church choir. Despite the efforts of its practitioners to revitalize its repertoires, paghjella has gradually diminished in vitality, due a sharp decline in intergenerational transmission caused by emigration of the younger generation and the consequent impoverishment of its repertoire. Unless action is taken, paghjella will cease to exist in its current form, surviving only as a tourist product devoid of the community links that give it real meaning.
U1: An emblem of Corsican identity deeply rooted in its agro-pastoral culture, the Cantu in paghjella is essential to the transmission of local cultural knowledge, an integral part of the social fabric of communities;
U2: While continuing to retain its character as an oral tradition and musical practice, and despite the persistence of traditional modes of transmission, the Cantu in paghjella is threatened by changes in the contexts of its performance and oral transmission, musical standardization and an impoverishment of its repertoire following commercialization and popularization, and the continuing demand for novelty from the tourist industry;
U3: An urgent safeguarding plan has been elaborated that underlines the priority of transmission, as well as activities of research, protection, promotion and raising awareness, demonstrating the will for an integrated intervention to benefit the viability of the Cantu in paghjella;
U4: The element has been nominated thanks to an active commitment and large participation of the community of practitioners, local officials and civil society during the process of elaborating the nomination file, based on the knowledge of several families of singers and supported by the awareness-raising of local media, and many practitioners have offered evidence of their free, prior and informed consent;
U5: The Cantu in paghjella is inscribed in the inventory of intangible cultural heritage present on the territory of France, managed and updated by the Direction for Architecture and Heritage of the Ministry of Culture.
alcune parole sono difficili da capire dunque scusate gli eventiali errori di traduzione
Giocheremo alla guerra nel cortile della scuola.
Guerrieri d'un attimo in abiti scuri,
Ed il profumo denso di questa allegria che vola via.
Sarà d'inchiostro amaro e di... confettura.
Spesso l'estate accende l'aria pura
Da schiarire i visi, i nostri occhi incupiti.
E tutti i segreti spartiti dopo cena,
Giunti sulle tue labbra sono baci pungenti.
Mille bagliori argentei, di selve e litorali,
Negli umori strambi della mia infanzia
Non c'era più nessuno, mi parea la notte.
Eppure la tua voce era cosi vicina.
Giocheremo alla guerra nel cortile della scuola.
Guerrieri d'un attimo in abiti scuri,
Ed il profumo denso di questa allegria che vola via.
Sarà d'inchiostro amaro e di... confettura.
E poi venne il tempo più spoglio e più taciuto,
Come gli sguardi tuoi, isole straniere
Sciarbotta i sensi e fa gli animi più quieti,
Bruciando per strada le futili opinioni.
Memoria raminga, sconfinata e puerile,
Che scova il domani appresso il suo respiro.
Oramai questi ricordi sono di polverone,
Il fuoco di questi tempi m'ha già logorato.
Giocheremo alla guerra nel cortile della scuola.
Guerrieri d'un attimo in abiti scuri,
Ed il profumo denso di questa allegria che vola via.
Sarà d'inchiostro amaro e di... confettura.
Mille rumori dati come tante preghiere
Ed i sapori fantasiosi di qel che non fu fatto,
Rimangono i tuoi per dir che tu non c'eri,
E tutti quei piaceri che non ti ho raccontati.
Mille rime proferte per dire a trema voce
Che ti tenevo caro ma gli anni si sono persi.
Ti vengano concesse questa terra e una croce,
E come testamento un po' di questi versi...
Giocheremo alla guerra nel cortile della scuola.
Guerrieri d'un attimo in abiti scuri,
Ed il profumo denso di questa allegria che vola via.
Sarà d'inchiostro amaro e di... confettura.
"Dio Vi Salvi Regina" est adopté comme hymne Corse le 30 janvier 1735, alors que la nation corse proclame son indépendance.
Diu vi salvi Regina, / Que Dieu vous garde Reine, E madre universale. / Et mère universelle Per cui favor si sale, / Par qui on s'élève Al Paradisu. / Jusqu'au paradis.
Voi siete gioia è risu, / Vous êtes la joie et le rire Di tutti i scunsulati, / De tous les attristés, Di tutti i tribulati, / De tous les tourmentés Unica speme. / L'unique espérance. Di tutti i tribulati, / De tous les tourmentés Unica speme. / Unique espérance.
A voi suspiera è geme, / Vers vous soupire et gémit Il nostru afflittu core, / Notre cœur affligé, In un mare di dolore / Dans une mer de douleur E d'amarezza. / Et d'amertume.
María, mar' di dolcezza, / Marie, mer de douceur, I vostri ochji pietosi, / Vos yeux pieux, Materni ed amurosi, / Maternels et aimants, A noi vulgete. / Tournez-les vers nous.
Noi miseri accuglite, / Nous, malheureux, accueillez-nous Nel vostru santu velu, / En votre saint voile, Il vostru fligliu in celu, / Votre fils au ciel, A noi mustrate. / Montrez-le nous
Gradite ed ascultate, / Acceptez et écoutez, O vergine María, / Ô Vierge Marie, Dolce è clemente è pia, / Douce, clémente et pieuse, Gli affetti nostri. / Nos marques d'affection.
Voi dai nemici nostri, / Sur nos ennemis A noi date vittoria / Donnez-nous la victoire, E poi l'Eterna gloria / Et l'éternelle gloire In Paradisu. / Au paradis.
avons une langue qui nous est propre, qui est enseignée dans les écoles et à l'université, une langue qui a sa grammaire, sa conjugaison et son propre vocabulaire, une langue qui non seulement ne meurt pas mais qui en plus est parlée par de plus en plus de jeunes... Etre Corse: C'est être fier de ses origines, les revendiquer... Je ne dis pas, je suis Français, je dis je suis Corse... Oh, faut pas trop me chercher hein ? Parce qu'être Corse c'est aussi être un peu susceptible quand on s'attaque à la Corse ou aux Corses... Etre Corse: c'est savoir où tu vas pendant les vacances, et provoquer l'envie dans les yeux quand tu leur répond: "Moi je vais en Corse".. Etre Corse: C'est sentir l'odeur du maquis quand les autres ne sentent rien. Etre Corse: c'est parfois avoir du mal à retenir tes larmes quand tu vois tes montagnes... Etre Corse: C'est se dire "je suis chez moi" quand tu as débarqué... C'est fermer les yeux un quart de seconde et effacer tout le temps qui vient de s'écouler et où tu n'as pas été chez toi... Etre Corse: C'est être attendu par tes parents, ta famille, c'est le village entier qui sait que "le petit" arrive aujourd'hui... C'est le seul endroit où mes enfants sont les enfants de tous, où ils ne risquent rien. Etre Corse: C'est dire à ma femme, ça c'est MA plage, même s'il y a plein de monde dessus, c'est MON rocher, MA cabane, MES souvenirs... Voilà ce que je t'offre... Tout ça... Un peu de ma corsitude... Etre Corse: C'est le premier voyage en avion de chacun de mes enfants. C'est leur baptême, avec un prêtre en soutane qui soulève mon petit à bout de bras pendant que tout le monde chante le "Dio Vi Salvi Regina"... Etre Corse: C'est préparer les oreillettes et les fritelli en cachette, et puis faire en sorte que tout le village s'installe en silence sous les fenêtres de la chambre de mes parents pour leur porter la sérénade pour leur anniversaire de mariage... Etre Corse: C'est Maman qui m'appelle la nuit de Noël pour m'apprendre les prières, qui font de moi un Signadoru... Dépositaire d'une tradition que j'essayerai de transmettre à mon tour à ma fille... Et que j'utilise en secret... Etre Corse: C'est une église bondée pour l'enterrement de Papa, des gens dehors qui parlent de sa vie, une chorale qui chante le "Dio Vi Salvi Regina", et oui, on le met à toutes les sauces celui-là, et mes tantes, et mes oncles, et mes cousins... Et puis le cimetière familial... Etre Corse: C'est les confitures de Maman, la farine de châtaigne pour la pulenta, les canistrelli, et la Pietra Etre Corse: C'est l'odeur du figatelu sur les braises dans la cheminée de ma grand-mère, c'est les histoires sur "Grosso Minutu" que mon grand-père me racontait le soir... Etre Corse: C'est avoir la chair de poule quand j'entends des chants Corses, c'est appeler mes enfants i mio figlioli, c'est la générosité, le sens de l'accueil, le caractère entier, La parole donnée, le respect, le chauvinisme,...... ETRE CORSE Texte tiré de celui de Francine Fratacci.
French Men, expliques-nous ton problème ...
Je SUIS corse, je suis Français, je suis Européen
J'ai été Officier de Marine, j'ai servi mon pays, et mes racines profondes sont corses
où est le problème ? tu n'as pas de racines ? alors raccroches-toi à nos valeurs, pas celles diffusées par la presse, celles que tu trouveras sans chercher en venant chez nous dans nos villages
nous ne sommes pas parfaits loin de là, mais écoutes cette musique, ces valeurs et pleures de bonheur ou meurs selon ton choix ...
+Dominique Massoni le problème ? il est simple, ce racisme primaire anti gaulois, je vis à Portichju (je respecte le nom corse), et un gaulois en corse c'est une tâche, merde à la fin, sa suffit ce racisme
+kriegsounet20166. N'oubliez pas que des abrutis, il y en a partout, chez les corses, chez les gaulois et ailleurs.
Mais n'oubliez pas non plus que la corse était un état démocratique, qui a été envahi par la france et est donc occupée depuis plus de 250 ans ! Entre temps il y a eu le scandale de la 1ère guerre mondiale, les oublis de la 2ème, les problèmes des rapatriés dans les années 60-70, la liste est trés trés longue. Alors, ne demandez pas aux corses ce que vous vous n'accepteriez pas...
Personnellement, quand je ne suis pas chez moi, je respecte les gens chez qui je suis, et sans baisser les yeux, je demande que l'on me rende le même respect
+kriegsounet20166 si tu vie en Corse, et que finalement tu te dis " Putain je vie sur une terre ou il y a un peuple fort et farouche, j'ai envie de croire en se peuple, j'aime son histoire et je veux participer à son avenir" Tu sais, un Français qui parle Corse, qui partage les idées des vrais Corse, qui a la mentalités ect... un vrai patriote quoi ! Et bien moi j'ai énormément de respect pour ses gens là ! Tu sais je pense que il y a trop d'étranger en Corse, qu'ils soient français maghrébin ou autres. Mais si ces étrangers pense corse et voit un avenir corse dans le respect de l'homme, et bah putain notre corse serait encore plus belle !
Courage ! Montre aux corses qu'un Français peut aussi bien être intelligent et patriote qu'un corse !
En Français ( cadeau )
♫ ♪
Je veux te faire une chansonnette
Pour faire le tour de la planète
Une chanson avec deux petites paroles
Qui parleront de LIBERTE
Liberté pour la fleur qui éclot
Liberté pour l'oiseau qui vole
Et pour le petit fleuve qui jaillit:Liberté
Je veux te faire une chansonnette
Pour faire le tour de la planète
Une chanson avec deux petites paroles
Qui parleront de LIBERTE
Liberté pour le mouflon en haut
Liberté pour la mer là-bas
Et pour toute l'humanité:Liberté
Tu m'as fait une chansonnette
J'ai fait le tour de la planète
Ta chanson avec deux petites paroles
Qui me parlait de Liberté
Liberté pour le mouflon en haut
Liberté pour la mer là-bas
Et pour toute la Corse:Liberté
♫♪♫♫♪
Je SUIS corse, je suis Français, je suis Européen
J'ai été Officier de Marine, j'ai servi mon pays, et mes racines profondes sont corses
où est le problème ? tu n'as pas de racines ? alors raccroches-toi à nos valeurs, pas celles diffusées par la presse, celles que tu trouveras sans chercher en venant chez nous dans nos villages
nous ne sommes pas parfaits loin de là, mais écoutes cette musique, ces valeurs et pleures de bonheur ou meurs selon ton choix ...